Marrakech,le festival international du film de Marrakech (FIFM), ouvert samedi, par l’actrice française, Isabelle Huppert, la présidente du jury, se décline en plusieurs composantes, à savoir des hommages à des acteurs, réalisateurs et producteurs, des films en compétition, des films hors compétition, des coups de cœur, la compétition cinécoles, les Masterclass et le cinéma en audio description.
Des hommages sont rendus à des comédiens, acteurs, réalisateurs et producteurs au nombre desquels, Adel Imam, Jeremy Irons, Viggo Mortensen, Khadija Alami, Zakaria Alahoui et au cinéma japonais.
Une quinzaine de films sont en compétition. Il s’agit de "The Bleue Elephant" de l’égyptien Marwan Hamed, "Chigasaki story" du japonais Takuya Misawa, "Chrieg" du suisse Simon Jaquemet, "Corrections class" d’Ivan Tverdovsky (Russie), "Everything we loved" de Max Currie (Nouvelle-Zélande), "The Keeping Room" de l’américain Daniel Barber et "Labour of love" de Aditya Vikram Sengupta (Inde).
Sont également en compétition "The last hammer blow" d’Alix Delaporte (France), "Mirage" de Sczabolcs Hajdu (Hongrie), "Nabat" d’Elchin Musaoglu (Azerbaidjan), "No one’s child" de Vuk Rsumovic (Serbie), "L’Orchestre des aveugles" de Mohamed Mouftakir (Maroc), "Red Rose" de Sepideh Farsi (France), "The Sea Fog" de Shim Sung-bo (Corée du sud) et "Things people do" de Saar Klein (USA).
Cinq prix prestigieux seront décernés au terme du festival, à savoir l’Etoile d’or qui est le grand prix du festival, le prix du jury, le prix de la mise en scène, le prix de l’interprétation féminine et le prix de l’interprétation masculine.
Une dizaine de films hors compétition sont au programme, au nombre desquels le film d’ouverture du festival, "The theory of everything" ou "une merveilleuse histoire du temps" du britannique James Marsh et celui de la clôture "A most violent yea" de l’américain J.C Chandor. "Timbuktu" d’Abderrahmane Sissako, réalisateur, scénariste et producteur mauritanien, est au également au programme des films hors compétition.
Il y a par ailleurs six films coup de cœur, dix films pour la compétition cinécoles et sept films pour le cinéma en audio description pour les non-voyants et malvoyants dont le film marocain "Road to Kabul", réalisé par Brahim Chhiri et nouvellement adapté à cette technique de l’audio description par la Fondation du festival international du film de Marrakech.
(AIP)
ask
Des hommages sont rendus à des comédiens, acteurs, réalisateurs et producteurs au nombre desquels, Adel Imam, Jeremy Irons, Viggo Mortensen, Khadija Alami, Zakaria Alahoui et au cinéma japonais.
Une quinzaine de films sont en compétition. Il s’agit de "The Bleue Elephant" de l’égyptien Marwan Hamed, "Chigasaki story" du japonais Takuya Misawa, "Chrieg" du suisse Simon Jaquemet, "Corrections class" d’Ivan Tverdovsky (Russie), "Everything we loved" de Max Currie (Nouvelle-Zélande), "The Keeping Room" de l’américain Daniel Barber et "Labour of love" de Aditya Vikram Sengupta (Inde).
Sont également en compétition "The last hammer blow" d’Alix Delaporte (France), "Mirage" de Sczabolcs Hajdu (Hongrie), "Nabat" d’Elchin Musaoglu (Azerbaidjan), "No one’s child" de Vuk Rsumovic (Serbie), "L’Orchestre des aveugles" de Mohamed Mouftakir (Maroc), "Red Rose" de Sepideh Farsi (France), "The Sea Fog" de Shim Sung-bo (Corée du sud) et "Things people do" de Saar Klein (USA).
Cinq prix prestigieux seront décernés au terme du festival, à savoir l’Etoile d’or qui est le grand prix du festival, le prix du jury, le prix de la mise en scène, le prix de l’interprétation féminine et le prix de l’interprétation masculine.
Une dizaine de films hors compétition sont au programme, au nombre desquels le film d’ouverture du festival, "The theory of everything" ou "une merveilleuse histoire du temps" du britannique James Marsh et celui de la clôture "A most violent yea" de l’américain J.C Chandor. "Timbuktu" d’Abderrahmane Sissako, réalisateur, scénariste et producteur mauritanien, est au également au programme des films hors compétition.
Il y a par ailleurs six films coup de cœur, dix films pour la compétition cinécoles et sept films pour le cinéma en audio description pour les non-voyants et malvoyants dont le film marocain "Road to Kabul", réalisé par Brahim Chhiri et nouvellement adapté à cette technique de l’audio description par la Fondation du festival international du film de Marrakech.
(AIP)
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