L’ancien Quartier général (Qg) de campagne de Laurent Gbagbo à Cocody-Attoban, qui sert de siège provisoire au Front populaire ivoirien (Fpi), a été le théâtre d’une scène inattendue pour les militants du parti.
Juste à la fin de la conférence de presse d’Assoa Adou, directeur de campagne de Laurent Gbagbo pour la présidence du Fpi, hier mercredi 10 décembre, ils ont vu débarquer devant le siège, des forces de l’ordre. Une situation qui a provoqué quelques tensions entre les policiers et certains militants qui voyaient d’un mauvais œil la présence des éléments de la police devant l’ex-Qg.
C’est dans un véritable tohu-bohu qu’un commissaire qui dit être du 30è arrondissement, a expliqué la raison de la présence de ses éléments et lui sur les lieux. « Nous avons appris qu’il y a treize gbakas (minicars) qui font mouvement d’Abobo vers le siège. Nous sommes donc venus pour sécuriser les lieux », a-t-il dit aux militants. Des propos qui manifestement n’ont rassuré pas les militants. « Il n’y a personne qui vient nous attaquer», a rétorqué un d’entre eux. Mais, le commissaire lui a fait savoir qu’ils ne peuvent pas tout savoir. « Vous êtes ici, mais vous ne savez pas ce qui se passe ailleurs. Nous sommes venus parce nous avons appris que des gens veulent attaquer le siège. C’est pour votre sécurité que nous sommes là », a-t-il insisté.
Juste à la fin de la conférence de presse d’Assoa Adou, directeur de campagne de Laurent Gbagbo pour la présidence du Fpi, hier mercredi 10 décembre, ils ont vu débarquer devant le siège, des forces de l’ordre. Une situation qui a provoqué quelques tensions entre les policiers et certains militants qui voyaient d’un mauvais œil la présence des éléments de la police devant l’ex-Qg.
C’est dans un véritable tohu-bohu qu’un commissaire qui dit être du 30è arrondissement, a expliqué la raison de la présence de ses éléments et lui sur les lieux. « Nous avons appris qu’il y a treize gbakas (minicars) qui font mouvement d’Abobo vers le siège. Nous sommes donc venus pour sécuriser les lieux », a-t-il dit aux militants. Des propos qui manifestement n’ont rassuré pas les militants. « Il n’y a personne qui vient nous attaquer», a rétorqué un d’entre eux. Mais, le commissaire lui a fait savoir qu’ils ne peuvent pas tout savoir. « Vous êtes ici, mais vous ne savez pas ce qui se passe ailleurs. Nous sommes venus parce nous avons appris que des gens veulent attaquer le siège. C’est pour votre sécurité que nous sommes là », a-t-il insisté.
