Gagnoa, le chef du village de Gnalégribouo, localité située à environ 25 km au sud de Gagnoa, dans le canton Paccolo, Joachim Boga Dago, connu sous le pseudo de Boga Sivori, a salué mercredi les actions de bons offices du sous-préfet de Gagnoa, Georges Koua Beira, et du bureau des Affaires civiles de l’ONUCI basé à Divo, qui ont abouti à la réconciliation entre les différentes communautés de son village.
Pour apaiser les esprits et ramener la paix et la cohésion sociale entre les communautés autochtones Bété, et allochtones Baoulé, Abrons, et allogènes Malinkés et Burkinabé, le sous-préfet Koua et le chef du bureau des Affaires civiles de l’ONUCI-Divo, Tanoh Kouakou Eba ont entrepris de longues négociations sur plusieurs jours en vue de rapprocher les points de vue.
"Je suis satisfait. La cohésion sociale est une notion bien comprise par les uns et les autres en voyant les résolutions qui sont sorties de l’atelier. La cohésion sociale, c’est l’entente, mais l’entente, c’est le respect de l’autre, le respect de l’autorité traditionnelle établie", a relevé le chef Boga Sivori, ajoutant que la cohésion sociale est le ciment et le socle de l’entente.
La crise postélectorale de 2010 a fragilisé le tissu social et exacerbé les conflits intra et intercommunautaires dans le village de Gnalégribouo où, depuis lors, un problème de cohabitation oppose les autochtones Bété aux allochtones Baoulé, Abrons et les allogènes Malinkés et Burkinabé, mettant ainsi à mal la cohésion sociale.
Le chef de Gnalégribouo a exprimé sa gratitude au sous-préfet et au chef du bureau de l’ONUCI-Divo, pour la qualité de leurs messages à l’intention des différentes communautés du village.
"Je vous remercie pour la qualité de vos messages", a affirmé le chef du village, gardant espoir pour croire que tout ce qui a été prodigué comme conseils pour une parfaite cohabitation se transforme en un engagement majeur pour chaque communauté afin d’aboutir effectivement à une bonne entente.
(AIP)
ja/kam
Pour apaiser les esprits et ramener la paix et la cohésion sociale entre les communautés autochtones Bété, et allochtones Baoulé, Abrons, et allogènes Malinkés et Burkinabé, le sous-préfet Koua et le chef du bureau des Affaires civiles de l’ONUCI-Divo, Tanoh Kouakou Eba ont entrepris de longues négociations sur plusieurs jours en vue de rapprocher les points de vue.
"Je suis satisfait. La cohésion sociale est une notion bien comprise par les uns et les autres en voyant les résolutions qui sont sorties de l’atelier. La cohésion sociale, c’est l’entente, mais l’entente, c’est le respect de l’autre, le respect de l’autorité traditionnelle établie", a relevé le chef Boga Sivori, ajoutant que la cohésion sociale est le ciment et le socle de l’entente.
La crise postélectorale de 2010 a fragilisé le tissu social et exacerbé les conflits intra et intercommunautaires dans le village de Gnalégribouo où, depuis lors, un problème de cohabitation oppose les autochtones Bété aux allochtones Baoulé, Abrons et les allogènes Malinkés et Burkinabé, mettant ainsi à mal la cohésion sociale.
Le chef de Gnalégribouo a exprimé sa gratitude au sous-préfet et au chef du bureau de l’ONUCI-Divo, pour la qualité de leurs messages à l’intention des différentes communautés du village.
"Je vous remercie pour la qualité de vos messages", a affirmé le chef du village, gardant espoir pour croire que tout ce qui a été prodigué comme conseils pour une parfaite cohabitation se transforme en un engagement majeur pour chaque communauté afin d’aboutir effectivement à une bonne entente.
(AIP)
ja/kam
