Bouaké - Des étudiants de l’Institut de formation des agents de santé (INFAS) se sont rassemblés mardi à Bouaké devant la préfecture, pour exprimer leurs inquiétudes face au maintien de la grève déclenchée par leurs enseignants le 6 janvier, demandant aux autorités compétentes de trouver "le plus tôt possible" une solution aux revendications, afin d'éviter le risque d’une formation au rabais ou d’une année blanche.
Ils s’interrogent sur l’issue de cette grève, affirmant avoir décidé de "prendre le taureau par les cornes", en vue de se faire entendre des autorités. Ils se sont retrouvés devant leur établissement, avant de se rendre à la préfecture où ils ont été reçus par le secrétaire général de la préfecture.
"Nous aussi, nous voulons prendre le train de l’émergence par notre formation; une formation de qualité. Alors, si nous devons rester à la maison, je pense que ça ne va pas nous arranger. Ça ne sera pas bon pour notre formation", a dit le premier vice-président de la 23e promotion de l’INFAS de Bouaké, N’Dri Alain.
En fin de cycle et préoccupé par la situation de ses camarades de première et de deuxième année dont la rentrée était prévue pour le 5 janvier, N’Dri Alain a affirmé craindre une année blanche, comme cela a été par le passé.
Les enseignants des cinq antennes de l’INFAS, à travers le pays, réclament notamment le paiement des arriérés de primes d’encadrement de mémoire, de surveillance des examens de diplômes d’État, d'indemnités de vacation et la signature de l'arrêté octroyant cette indemnité.
Lors d'une Assemblée générale tenue lundi à Abidjan, l'Association des professeurs de l'INFAS (API) a décidé de poursuivre la grève entamée le 6 janvier parce qu’elle n’a pas obtenu satisfaction.
nbf/kkp/ask
Ils s’interrogent sur l’issue de cette grève, affirmant avoir décidé de "prendre le taureau par les cornes", en vue de se faire entendre des autorités. Ils se sont retrouvés devant leur établissement, avant de se rendre à la préfecture où ils ont été reçus par le secrétaire général de la préfecture.
"Nous aussi, nous voulons prendre le train de l’émergence par notre formation; une formation de qualité. Alors, si nous devons rester à la maison, je pense que ça ne va pas nous arranger. Ça ne sera pas bon pour notre formation", a dit le premier vice-président de la 23e promotion de l’INFAS de Bouaké, N’Dri Alain.
En fin de cycle et préoccupé par la situation de ses camarades de première et de deuxième année dont la rentrée était prévue pour le 5 janvier, N’Dri Alain a affirmé craindre une année blanche, comme cela a été par le passé.
Les enseignants des cinq antennes de l’INFAS, à travers le pays, réclament notamment le paiement des arriérés de primes d’encadrement de mémoire, de surveillance des examens de diplômes d’État, d'indemnités de vacation et la signature de l'arrêté octroyant cette indemnité.
Lors d'une Assemblée générale tenue lundi à Abidjan, l'Association des professeurs de l'INFAS (API) a décidé de poursuivre la grève entamée le 6 janvier parce qu’elle n’a pas obtenu satisfaction.
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