Bouaké - Un atelier international de quatre jours portant sur la finalisation et le lancement d’un projet de "Renforcement des capacités des acteurs de la chaîne des valeurs de la filière anacarde en Afrique de l’Ouest" s’est ouvert mardi à Bouaké, à l’intention des experts du Benin, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Sénégal et du Ghana.
L’atelier permettra de procéder à la planification participative, pour une meilleure compréhension des objectifs, des résultats attendus, ainsi que la méthodologie et le plan de mise en œuvre des activités du projet qui a pour objectif de booster le développement de la filière anacarde dans la sous-région, en particulier dans ces pays.
Financé par le Conseil ouest et centre-africain pour la recherche et le développement agricole (CORAF/WECARD), le projet a pour ambition de mieux organiser les acteurs de la filière, d’améliorer le matériel végétal pour avoir des noix de cajou de qualité et d’appuyer les femmes intervenant dans la filière, a indiqué le gestionnaire du programme pour les cultures de cette structure, M. Ousmane N’Doye.
"Nous y tenons et nous savons la valeur que ça peut ajouter au développement de la filière anacarde en Afrique de l’Ouest", a déclaré M. N’Doye, réaffirmant la disponibilité du CORAF à apporter son concours au succès de ce projet.
Le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde ivoirien, M. Malamine Sanogo, a salué le cadre de concertation créé et qui favorisera notamment les synergies d’actions, les échanges d’expériences entre acteurs de différents pays et la promotion de l’origine des produits.
Par ailleurs, il a noté que dans le cadre de ce projet qui finance la recherche agricole des différents pays, la Côte d’Ivoire bénéficiera de moyens financiers pour la mise au point d’une variété d’anacarde à haut rendement, résistant aux maladies et pour fabriquer des équipements adaptés à l’environnement ivoirien pour la transformation de la noix de cajou.
La secrétaire générale de la préfecture de Bouaké, Mme Loboué Michelle Hortense Amani, a salué ce projet qu’elle estime ambitieux et qui va certainement favoriser la coopération sud-sud, tout en rendant la filière anacarde plus compétitive.
Le CORAF/WECARD est l’une des quatre organisations sous-régionales du Forum pour la recherche agricole en Afrique (FARA). Regroupant les Systèmes nationaux de recherche agricole (SNRA) de 23 pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, il coordonne et facilite les activités de recherche sur la base de politiques agricoles bien définies.
nbf/kkp/kam
L’atelier permettra de procéder à la planification participative, pour une meilleure compréhension des objectifs, des résultats attendus, ainsi que la méthodologie et le plan de mise en œuvre des activités du projet qui a pour objectif de booster le développement de la filière anacarde dans la sous-région, en particulier dans ces pays.
Financé par le Conseil ouest et centre-africain pour la recherche et le développement agricole (CORAF/WECARD), le projet a pour ambition de mieux organiser les acteurs de la filière, d’améliorer le matériel végétal pour avoir des noix de cajou de qualité et d’appuyer les femmes intervenant dans la filière, a indiqué le gestionnaire du programme pour les cultures de cette structure, M. Ousmane N’Doye.
"Nous y tenons et nous savons la valeur que ça peut ajouter au développement de la filière anacarde en Afrique de l’Ouest", a déclaré M. N’Doye, réaffirmant la disponibilité du CORAF à apporter son concours au succès de ce projet.
Le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde ivoirien, M. Malamine Sanogo, a salué le cadre de concertation créé et qui favorisera notamment les synergies d’actions, les échanges d’expériences entre acteurs de différents pays et la promotion de l’origine des produits.
Par ailleurs, il a noté que dans le cadre de ce projet qui finance la recherche agricole des différents pays, la Côte d’Ivoire bénéficiera de moyens financiers pour la mise au point d’une variété d’anacarde à haut rendement, résistant aux maladies et pour fabriquer des équipements adaptés à l’environnement ivoirien pour la transformation de la noix de cajou.
La secrétaire générale de la préfecture de Bouaké, Mme Loboué Michelle Hortense Amani, a salué ce projet qu’elle estime ambitieux et qui va certainement favoriser la coopération sud-sud, tout en rendant la filière anacarde plus compétitive.
Le CORAF/WECARD est l’une des quatre organisations sous-régionales du Forum pour la recherche agricole en Afrique (FARA). Regroupant les Systèmes nationaux de recherche agricole (SNRA) de 23 pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, il coordonne et facilite les activités de recherche sur la base de politiques agricoles bien définies.
nbf/kkp/kam