Une partie du butin des bandits emporté lors du braquage d’un car de transport a été découverte dans la broussaille par des paysans de Bougou, dans la sous-préfecture de Bilimono (département de Kong), a-t-on appris de sources policières.
Lors du braquage de la compagnie JTK (Jeunes Transporteurs de Kong) en date du 30 janvier 2015, les malfaiteurs auraient emporté avec eux une importante somme d’argent estimée à environ 1,4 million de F CFA et des effets vestimentaires de leurs victimes en vue de procéder à des fouilles minutieuses.
Une semaine après le braquage, la brigade de gendarmerie de Kong a fait appel aux victimes pour identifier ce qui leur appartient.
Déjà en 2015, cinq cas de vol à main armée ont été signalés dans le département.
A l’occasion, les autorités militaires demandent la coopération des populations en matière d’information pour combattre efficacement ce phénomène de coupeurs de route qui devient de plus en plus inquiétant.
"Le territoire est vaste. Il n’existe pas de signe distinctif sur les malfaiteurs. Lorsqu’ils commettent un forfait et que nous nous mobilisons pour les traquer, nous apprenons qu’un autre axe routier est pris en otage par un groupe similaire", nous disait une source militaire.
"Les populations doivent avoir confiance en nous plutôt que de vivre perpétuellement dans la peur", confiait une autre source militaire à l’AIP.
ok/kkf/kkp/kam
Lors du braquage de la compagnie JTK (Jeunes Transporteurs de Kong) en date du 30 janvier 2015, les malfaiteurs auraient emporté avec eux une importante somme d’argent estimée à environ 1,4 million de F CFA et des effets vestimentaires de leurs victimes en vue de procéder à des fouilles minutieuses.
Une semaine après le braquage, la brigade de gendarmerie de Kong a fait appel aux victimes pour identifier ce qui leur appartient.
Déjà en 2015, cinq cas de vol à main armée ont été signalés dans le département.
A l’occasion, les autorités militaires demandent la coopération des populations en matière d’information pour combattre efficacement ce phénomène de coupeurs de route qui devient de plus en plus inquiétant.
"Le territoire est vaste. Il n’existe pas de signe distinctif sur les malfaiteurs. Lorsqu’ils commettent un forfait et que nous nous mobilisons pour les traquer, nous apprenons qu’un autre axe routier est pris en otage par un groupe similaire", nous disait une source militaire.
"Les populations doivent avoir confiance en nous plutôt que de vivre perpétuellement dans la peur", confiait une autre source militaire à l’AIP.
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