La cérémonie d’ouverture de l’atelier de formation des journalistes en Droits Humains organisé par la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté, à son siège, en collaboration avec le RAIDH (Regroupement des Acteurs Ivoiriens des Droits Humains), s’est tenue hier 04 mars 2015.
Cet atelier devra contribuer au renforcement de capacités de près d’une trentaine de journalistes issus de la presse radiophonique, audiovisuelle, écrite et en ligne, pour une meilleure appropriation effective et une meilleure promotion des droits de l’homme en Côte d’Ivoire.
Vue l’importance de cette thématique, plusieurs personnalités expertes en matière de droits de l’homme ont assisté à la cérémonie d’ouverture et apporté leur caution morale à cette initiative. La première au perron, Mme Sylvie Konaté, Chargée de programmes de la Fondation Friedrich a planté le décor de cet atelier.
« L’implication des journalistes dans la promotion des droits humains nécessite une certaine expertise. Cela a manqué au cours de ces deux dernières décennies aux journalistes ivoiriens. Ce constat pourrait s’expliquer surtout par l’insuffisance de formation en matière de droit de l’homme et démocratie » a-t’elle indiqué.
Au rang des officiels, M. Issiaka Fofana, Conseiller Technique du ministre de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques et Mme Florentine Maho, Directrice des Affaires Juridiques et Internationales du Ministère de la Communication, ont tous deux apprécié la tenue de cet atelier qui fait corps avec la vision d’une Côte d’Ivoire émergente qui passe par un Etat respectueux des Droits Humains. «Il conviendrait que vos réflexions portent également sur les nuances entre les violations des lois sur la presse et les infractions commises par la presse ; et sur les nouveaux textes relatifs à l’accès à l’information d’intérêt public » a souhaité M. Issiaka Fofana.
Par ailleurs, M. Bamba Sindou, Coordonnateur Général du RAIDH (Regroupement des acteurs ivoiriens des Droits Humains), après avoir exprimé sa gratitude à la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté, pour avoir accepté de l’organisation de ces assises, a souhaité que pour des élections apaisées les journalistes jouent leur rôle sans emboucher la trompette des hommes politiques.
Au nom de la Commission Nationale des droits de l’homme (CNDH), M. Assouman Bamba, s’est réjoui du fait que cette formation qui vient à nommé avant les élections présidentielles de 2015, puisse outiller davantage les hommes de medias en matière de droit de l’homme.
En outre, cette première journée de ce renforcement de capacités des journalistes en droits humains, a été marquée par deux temps forts, à savoir une communication introductive faite par M. Augustin Somé de la Division des Droits de l’Homme de l’ONUCI, dont le thème : « comment les médias peuvent-ils contribuer à promouvoir les Droits de l’Homme et la réconciliation ? »
Un cours général relatif à « la déclaration universelle des Droits de l’Homme et la constitution ivoirienne » a été donné par M. Eric-Aimé Sémien, Président de l’OIDH (Observatoire Ivoirien des Droits de l’Homme).
Durant 72 heures les journalistes vont être instruits sur plusieurs thèmes, notamment la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH), la Constitution ivoirienne, les Droits de l’Homme : les droits civils et politiques, le traitement objectif et non partisan de l’information, et le rôle du CICR (Comité International de la Croix Rouge) et le Droit International Humanitaire.
Cet atelier devra contribuer au renforcement de capacités de près d’une trentaine de journalistes issus de la presse radiophonique, audiovisuelle, écrite et en ligne, pour une meilleure appropriation effective et une meilleure promotion des droits de l’homme en Côte d’Ivoire.
Vue l’importance de cette thématique, plusieurs personnalités expertes en matière de droits de l’homme ont assisté à la cérémonie d’ouverture et apporté leur caution morale à cette initiative. La première au perron, Mme Sylvie Konaté, Chargée de programmes de la Fondation Friedrich a planté le décor de cet atelier.
« L’implication des journalistes dans la promotion des droits humains nécessite une certaine expertise. Cela a manqué au cours de ces deux dernières décennies aux journalistes ivoiriens. Ce constat pourrait s’expliquer surtout par l’insuffisance de formation en matière de droit de l’homme et démocratie » a-t’elle indiqué.
Au rang des officiels, M. Issiaka Fofana, Conseiller Technique du ministre de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques et Mme Florentine Maho, Directrice des Affaires Juridiques et Internationales du Ministère de la Communication, ont tous deux apprécié la tenue de cet atelier qui fait corps avec la vision d’une Côte d’Ivoire émergente qui passe par un Etat respectueux des Droits Humains. «Il conviendrait que vos réflexions portent également sur les nuances entre les violations des lois sur la presse et les infractions commises par la presse ; et sur les nouveaux textes relatifs à l’accès à l’information d’intérêt public » a souhaité M. Issiaka Fofana.
Par ailleurs, M. Bamba Sindou, Coordonnateur Général du RAIDH (Regroupement des acteurs ivoiriens des Droits Humains), après avoir exprimé sa gratitude à la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté, pour avoir accepté de l’organisation de ces assises, a souhaité que pour des élections apaisées les journalistes jouent leur rôle sans emboucher la trompette des hommes politiques.
Au nom de la Commission Nationale des droits de l’homme (CNDH), M. Assouman Bamba, s’est réjoui du fait que cette formation qui vient à nommé avant les élections présidentielles de 2015, puisse outiller davantage les hommes de medias en matière de droit de l’homme.
En outre, cette première journée de ce renforcement de capacités des journalistes en droits humains, a été marquée par deux temps forts, à savoir une communication introductive faite par M. Augustin Somé de la Division des Droits de l’Homme de l’ONUCI, dont le thème : « comment les médias peuvent-ils contribuer à promouvoir les Droits de l’Homme et la réconciliation ? »
Un cours général relatif à « la déclaration universelle des Droits de l’Homme et la constitution ivoirienne » a été donné par M. Eric-Aimé Sémien, Président de l’OIDH (Observatoire Ivoirien des Droits de l’Homme).
Durant 72 heures les journalistes vont être instruits sur plusieurs thèmes, notamment la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH), la Constitution ivoirienne, les Droits de l’Homme : les droits civils et politiques, le traitement objectif et non partisan de l’information, et le rôle du CICR (Comité International de la Croix Rouge) et le Droit International Humanitaire.
