Bouaké (Côte d’Ivoire) - En décidant de payer une pension aux « anciennes gloires de la culture » ivoirienne, le Chef de l’Etat Alassane Ouattara a fait éviter la «mendicité » aux artistes devant les bureaux des cadres, a estimé, samedi, Jérôme Eba Aka.
« Monsieur le président, en nous octroyons cette pension, vous nous avez évité la mendicité devant les bureaux de nos cadres », a confié à Bouaké (Nord) dans un entretien à APA M. Aka, l'une des ‘'anciennes gloires'' de la musique ivoirienne et bénéficiaire d'une pension spéciale de l'Etat Côte d'Ivoire.
L'artiste musicien, chanteur, compositeur, classé numéro un de la musique ivoirienne en 1978 avec son titre à succès «Trahison» s'exprimait en marge de « la fête annuelle de la Mutuelle des ressortissants du département d'Aboisso à Bouaké ».
« Ce que le Président de la République a fait est quelque chose d'extraordinaire. Il a vu que des artistes étaient abandonnés à leur triste sort. Il a voulu nous donner la possibilité de nous suffire au lieu d'être des mendiants devant les bureaux de nos cadres », a poursuivi Jérôme Eba Aka.
Selon lui, « le Président de la République à travers ce geste s'est rappelé qu'il y a des doyens qui vivaient dans des problèmes, et ce geste qu'il a fait n'a pas de prix. On ne peut que le remercier ».
Depuis le mois de juillet 2014, le gouvernement ivoirien a décidé d'octroyer une pension de retraite de 300 000 FCFA par mois et par artiste à plusieurs «anciennes gloires» de la culture ivoirienne.
Figurent au nombre des bénéficiaires de cette reconnaissance de l'Etat ivoirien à ses « doyens » des arts et de la culture, les chanteurs Bailly Spinto, Allah Thérèse et Soro N'gana, les chorégraphes Rose Marie Guiraud et Wèrè Wèrè Liking ainsi que les comédiens Daniel Adjé et Léonard Grogruet. Les cinéastes Sidiki Bakaba et Roger Gnoan M'Bala sont également bénéficiaires.
CK/ls
« Monsieur le président, en nous octroyons cette pension, vous nous avez évité la mendicité devant les bureaux de nos cadres », a confié à Bouaké (Nord) dans un entretien à APA M. Aka, l'une des ‘'anciennes gloires'' de la musique ivoirienne et bénéficiaire d'une pension spéciale de l'Etat Côte d'Ivoire.
L'artiste musicien, chanteur, compositeur, classé numéro un de la musique ivoirienne en 1978 avec son titre à succès «Trahison» s'exprimait en marge de « la fête annuelle de la Mutuelle des ressortissants du département d'Aboisso à Bouaké ».
« Ce que le Président de la République a fait est quelque chose d'extraordinaire. Il a vu que des artistes étaient abandonnés à leur triste sort. Il a voulu nous donner la possibilité de nous suffire au lieu d'être des mendiants devant les bureaux de nos cadres », a poursuivi Jérôme Eba Aka.
Selon lui, « le Président de la République à travers ce geste s'est rappelé qu'il y a des doyens qui vivaient dans des problèmes, et ce geste qu'il a fait n'a pas de prix. On ne peut que le remercier ».
Depuis le mois de juillet 2014, le gouvernement ivoirien a décidé d'octroyer une pension de retraite de 300 000 FCFA par mois et par artiste à plusieurs «anciennes gloires» de la culture ivoirienne.
Figurent au nombre des bénéficiaires de cette reconnaissance de l'Etat ivoirien à ses « doyens » des arts et de la culture, les chanteurs Bailly Spinto, Allah Thérèse et Soro N'gana, les chorégraphes Rose Marie Guiraud et Wèrè Wèrè Liking ainsi que les comédiens Daniel Adjé et Léonard Grogruet. Les cinéastes Sidiki Bakaba et Roger Gnoan M'Bala sont également bénéficiaires.
CK/ls
