Abidjan - Le jugement de 14 militaires proches de l’ex-président ivoirien, Laurent Gbagbo, a démarré, mardi, lors d’une audience du Tribunal militaire d’Abidjan (TMA) présidée par le juge Ettia Anna Désirée à la salle de conférence du ministère de la Défense à Abidjan-Plateau.
Le parquet militaire qui poursuit ces militaires et gendarmes dont des gardes rapprochés de Simone Gbagbo pour "violation de consignes de ralliement" a abandonné le chef d’accusation de la tuerie des femmes d’Abobo.
Arrêtés le 11 avril 2011 à la résidence présidentielle en même temps que l’ex-chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, ces militaires sont entendus dans le cadre de la crise postélectorale qui a fait officiellement 3000 morts dans le pays.
ik/ask
Le parquet militaire qui poursuit ces militaires et gendarmes dont des gardes rapprochés de Simone Gbagbo pour "violation de consignes de ralliement" a abandonné le chef d’accusation de la tuerie des femmes d’Abobo.
Arrêtés le 11 avril 2011 à la résidence présidentielle en même temps que l’ex-chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, ces militaires sont entendus dans le cadre de la crise postélectorale qui a fait officiellement 3000 morts dans le pays.
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