Le mercredi 11 mars 2015, de 11 h 00 à 11hh 15, Madame la Ministre a lu la déclaration officielle de la République de Côte d’Ivoire, pendant 04 minutes, en présence de toute la délégation ivoirienne. Elle portait sur le bilan, les défis et perspectives de la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre de la Plateforme d’Action de Beijing, 20 ans après la Conférence Mondiale des Femmes tenue à BEIJING (1995-1995). De 20 h 30 à 21 h 30, Mme la Ministre était l’invitée spéciale de la radio de la Diaspora Ivoirienne dans le cadre des « grandes rencontres» de cette radio qui est la voix de la diaspora ivoirienne et des amis de la Côte d’Ivoire. L’émission qui porte le nom de « LES GRANDES RENCONTRES" bénéficie d’une grande attention des ivoiriennes et ivoiriens de la diaspora. Elle est retransmise en direct sur les ondes de la radio, bien écoutée, qui a permis à la Ministre de Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant d’échanger avec les ivoiriens et ivoiriennes des Etats Unis.
Le thème débattu lors de ce passage de Madame la Ministre a porté sur le thème :
«La Femme ivoirienne sous le Président OUATTARA : quel bilan ? ».
Pendant plus d’une heure, la Ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant a communié avec les ivoiriennes et ivoiriens sans distinction de région, religion et ethnie et a lancé des messages forts. Les messages clés donnés par Mme la Ministre lors de cette émission peuvent être synthétisés comme ce qui suit :
1. Le Président de la République de Côte d’Ivoire, son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA a réussi une véritable révolution en reconnaissant à la femme sa pleine capacité dans la consolidation de la famille, l’éducation des enfants et la préparation de leur avenir. A titre d’exemple, le cadre juridique national de promotion des droits des femmes a connu de reformes majeures (exemple la loi sur le mariage)
2. Dans notre pays, en 2015, les femmes et les hommes de Côte d’Ivoire sont devenues plus complémentaires et la contribution équitable de l’homme et la femme en vue de l’équilibre familial, est devenue une réalité.
3. La mise à la disposition des femmes de Côte des fonds de crédits pour lutter contre la féminisation de la pauvreté , notamment le FAFCI de Mme la Première Dame, est une solution durable pour l’autonomisation socioéconomique des femmes.
4. « Le facteur déterminant qui a contribué aux progrès accomplis dans la mise œuvre du Plan d’Action de Beijing est l’affirmation de la volonté politique du Chef de l’Etat.
En effet, le Président de la République de Côte d’Ivoire, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, qui est profondément attaché à la justice sociale et à l’égalité des chances, a inscrit l’Egalité des sexes et l’Autonomisation des femmes dans le projet de gouvernement qui l’a porté au pouvoir en Octobre 2010. Frères et sœurs de Côte d’Ivoire, le Président a besoin de toutes et de tous pour reconstruire le pays et réconcilier les ivoiriens. Son appel à la réconciliation et l’égalité vous concerne au même titre que ceux qui vivent au pays » », dira Mme la Ministre.
Le Vendredi 13 Mars, Madame la Ministre a participé, de 10heures 30 à 13h, à la Session interactive organisée par la Commission Genre de la CEDEAO à l’endroit des Ministres en charge du Genre. Cette rencontre a réuni toutes les Ministres en charge du Genre des Etats membres de la CEDEAO, avec pour thème : «Genre et Ebola, les impacts de la maladie sur les femmes en Afrique de l’Ouest ». Elle a été organisée dans la salle de Conférence de la Mission Permanent d’Observation de l’Union Africaine auprès des Nations Unies, à New York, aux USA.
L’objectif principal de la session interactive des ministres en charge des questions de genre et de la femme de la CEDEAO était de mesurer l’impact négatif de la maladie à virus Ebola sur le plan socio-économique sur les femmes en Afrique de l’Ouest et de proposer un programme régional d’appui de réinsertion des victimes dans les pays affectés.
La Côte d’Ivoire, à travers l’intervention de Mme la Ministre, a réexpliqué la nécessité de fermeture de frontière aux premières ; ce qui a permis de mieux organiser la riposte et éviter qu’un seul cas soit enregistré dans le pays. Elle a également recommandé à la CEDEAO la mise en place d’un programme conjoint pour maintenir la vigilance face à la Maladie à Virus Ebola et surtout, mieux faire face à son impact socioéconomique sur les femmes et les enfants.
De 18h30-19h45, elle a présidé le panel haut Niveau de la Côte d’Ivoire à la 59ème session de la Commission de la condition de la femme (CSW) sur le thème « Beijing + 20 : bilan, défis et perspectives pour une Côte d’Ivoire émergente. Ce panel s’est tenu, à la salle 11 du Bâtiment Principal de l’Assemblée Générale, au siège des Nations Unies.
Il a donné lieu à six (6) communications qui ont permis aux panélistes de partager les acquis et de s’inspirer des expériences des autres pays pour relever les défis de l’émergence incluant une participation plus égalitaire des hommes et des femmes.
• Le premier sous-thème, portant sur la présentation du rapport de Beijing+20 a été présenté par Mme la Ministre de la Solidarité de la Famille, de la Femme et de l’enfant; Anné Désirée OULOTO
• Le second sous-thème a présenté les avancées enregistrées par la Côte d’Ivoire en matière d’éducation, avec un accent sur les problèmes tels l’accès inégal à l’éducation et à la formation ou les disparités et insuffisances qui perdurent dans ce domaine. Il a été animé par Mme la Ministre de l’Education Nationale et de l’Enseignement Technique; Kandia CAMARA
• Le troisième sous- thème a été présenté par Mme la Ministre de la Communication, Affoussiata BAMBA Lamine, qui a traité de la problématique « femme et médias » en Côte d’Ivoire, en particulier les avancées et défis enregistrés en matière de lutte contre les stéréotypes sexistes dans ce domaine.
• La quatrième communication qui a été assurée par Mme la première vice-présidente de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire, Sara SAKO Fadiga, a montré les progrès réalisés au niveau législatif, les activités du Caucus des Femmes Parlementaires et les défis à relever.
• Les cinquième et sixième communications ont été l’occasion pour des responsables de la société civile, notamment Mmes Salimata PORQUET et Aimée ZEBEYOUX, respectivement Présidentes du REPSFECO régional et de l’AFJCI, d’exposer des avancées enregistrées en matière de justice, de leadership et de participation des femmes en Côte d’Ivoire pendant les 20 dernières années.
Il faut souligner que plusieurs personnalités de la sous-région ouest africaine ont pris part à cette rencontre, notamment la Commissaire CEDEAO en charge du Genre et des Affaires Sociales (Dr DIA Fatimata Sow), Dr KONE Léon Tanou, représentant permanent de la CEDEAO auprès des Nations Unies et des personnalités et experts membres des délégations venues d’ autres pays. Une forte délégation des femmes venues du Burkina Faso, du Mali, de la Guinée et du Niger y a pris part également.
Devant le succès qu’a connu ce panel, il a été recommandé d’en organiser d’autres du même genre avec les mêmes Ministres en Côte d’Ivoire. A ce panel, d’autres panélistes membres du Gouvernement et de certaines structures de l’Etat de Côte d’Ivoire feront le même exercice.
Le thème débattu lors de ce passage de Madame la Ministre a porté sur le thème :
«La Femme ivoirienne sous le Président OUATTARA : quel bilan ? ».
Pendant plus d’une heure, la Ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant a communié avec les ivoiriennes et ivoiriens sans distinction de région, religion et ethnie et a lancé des messages forts. Les messages clés donnés par Mme la Ministre lors de cette émission peuvent être synthétisés comme ce qui suit :
1. Le Président de la République de Côte d’Ivoire, son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA a réussi une véritable révolution en reconnaissant à la femme sa pleine capacité dans la consolidation de la famille, l’éducation des enfants et la préparation de leur avenir. A titre d’exemple, le cadre juridique national de promotion des droits des femmes a connu de reformes majeures (exemple la loi sur le mariage)
2. Dans notre pays, en 2015, les femmes et les hommes de Côte d’Ivoire sont devenues plus complémentaires et la contribution équitable de l’homme et la femme en vue de l’équilibre familial, est devenue une réalité.
3. La mise à la disposition des femmes de Côte des fonds de crédits pour lutter contre la féminisation de la pauvreté , notamment le FAFCI de Mme la Première Dame, est une solution durable pour l’autonomisation socioéconomique des femmes.
4. « Le facteur déterminant qui a contribué aux progrès accomplis dans la mise œuvre du Plan d’Action de Beijing est l’affirmation de la volonté politique du Chef de l’Etat.
En effet, le Président de la République de Côte d’Ivoire, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, qui est profondément attaché à la justice sociale et à l’égalité des chances, a inscrit l’Egalité des sexes et l’Autonomisation des femmes dans le projet de gouvernement qui l’a porté au pouvoir en Octobre 2010. Frères et sœurs de Côte d’Ivoire, le Président a besoin de toutes et de tous pour reconstruire le pays et réconcilier les ivoiriens. Son appel à la réconciliation et l’égalité vous concerne au même titre que ceux qui vivent au pays » », dira Mme la Ministre.
Le Vendredi 13 Mars, Madame la Ministre a participé, de 10heures 30 à 13h, à la Session interactive organisée par la Commission Genre de la CEDEAO à l’endroit des Ministres en charge du Genre. Cette rencontre a réuni toutes les Ministres en charge du Genre des Etats membres de la CEDEAO, avec pour thème : «Genre et Ebola, les impacts de la maladie sur les femmes en Afrique de l’Ouest ». Elle a été organisée dans la salle de Conférence de la Mission Permanent d’Observation de l’Union Africaine auprès des Nations Unies, à New York, aux USA.
L’objectif principal de la session interactive des ministres en charge des questions de genre et de la femme de la CEDEAO était de mesurer l’impact négatif de la maladie à virus Ebola sur le plan socio-économique sur les femmes en Afrique de l’Ouest et de proposer un programme régional d’appui de réinsertion des victimes dans les pays affectés.
La Côte d’Ivoire, à travers l’intervention de Mme la Ministre, a réexpliqué la nécessité de fermeture de frontière aux premières ; ce qui a permis de mieux organiser la riposte et éviter qu’un seul cas soit enregistré dans le pays. Elle a également recommandé à la CEDEAO la mise en place d’un programme conjoint pour maintenir la vigilance face à la Maladie à Virus Ebola et surtout, mieux faire face à son impact socioéconomique sur les femmes et les enfants.
De 18h30-19h45, elle a présidé le panel haut Niveau de la Côte d’Ivoire à la 59ème session de la Commission de la condition de la femme (CSW) sur le thème « Beijing + 20 : bilan, défis et perspectives pour une Côte d’Ivoire émergente. Ce panel s’est tenu, à la salle 11 du Bâtiment Principal de l’Assemblée Générale, au siège des Nations Unies.
Il a donné lieu à six (6) communications qui ont permis aux panélistes de partager les acquis et de s’inspirer des expériences des autres pays pour relever les défis de l’émergence incluant une participation plus égalitaire des hommes et des femmes.
• Le premier sous-thème, portant sur la présentation du rapport de Beijing+20 a été présenté par Mme la Ministre de la Solidarité de la Famille, de la Femme et de l’enfant; Anné Désirée OULOTO
• Le second sous-thème a présenté les avancées enregistrées par la Côte d’Ivoire en matière d’éducation, avec un accent sur les problèmes tels l’accès inégal à l’éducation et à la formation ou les disparités et insuffisances qui perdurent dans ce domaine. Il a été animé par Mme la Ministre de l’Education Nationale et de l’Enseignement Technique; Kandia CAMARA
• Le troisième sous- thème a été présenté par Mme la Ministre de la Communication, Affoussiata BAMBA Lamine, qui a traité de la problématique « femme et médias » en Côte d’Ivoire, en particulier les avancées et défis enregistrés en matière de lutte contre les stéréotypes sexistes dans ce domaine.
• La quatrième communication qui a été assurée par Mme la première vice-présidente de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire, Sara SAKO Fadiga, a montré les progrès réalisés au niveau législatif, les activités du Caucus des Femmes Parlementaires et les défis à relever.
• Les cinquième et sixième communications ont été l’occasion pour des responsables de la société civile, notamment Mmes Salimata PORQUET et Aimée ZEBEYOUX, respectivement Présidentes du REPSFECO régional et de l’AFJCI, d’exposer des avancées enregistrées en matière de justice, de leadership et de participation des femmes en Côte d’Ivoire pendant les 20 dernières années.
Il faut souligner que plusieurs personnalités de la sous-région ouest africaine ont pris part à cette rencontre, notamment la Commissaire CEDEAO en charge du Genre et des Affaires Sociales (Dr DIA Fatimata Sow), Dr KONE Léon Tanou, représentant permanent de la CEDEAO auprès des Nations Unies et des personnalités et experts membres des délégations venues d’ autres pays. Une forte délégation des femmes venues du Burkina Faso, du Mali, de la Guinée et du Niger y a pris part également.
Devant le succès qu’a connu ce panel, il a été recommandé d’en organiser d’autres du même genre avec les mêmes Ministres en Côte d’Ivoire. A ce panel, d’autres panélistes membres du Gouvernement et de certaines structures de l’Etat de Côte d’Ivoire feront le même exercice.
