Bouaflé – Le sous-préfet de Pakouabo, localité située à 19 km de Bouaflé, N’Dri Guillaume a révélé samedi, que près de 2 500 enfants fréquentant les écoles primaires sont sans extrait de naissance.
A l’occasion du lancement des festivités de "Paquinou" initiées par la Mutuelle de développement économique et social de Pakouabo (MUDESPA), le sous-préfet a interpelé les parents qui ont, selon lui, décidé librement de faire de leurs enfants des étrangers dans leur propre village en les privant d’extrait de naissance.
« Les enfants fréquentent les établissements scolaires sans existence juridique car le fichier de l’état-civil de la Côte d’Ivoire ne les connaît pas », a-t-il déploré, en présence des cadres de Pakouabo et de la chefferie Traditionnelle locale.
Egrenant le chapelet des problèmes qui minent la sous-préfecture, M. N’Dri a évoqué le manque d’hygiène perceptible à travers la présence des dépotoirs, des herbes et des sachets de tous genres aussi bien devant les domiciles que les lieux privés et publics.
L’administrateur civil a souligné le problème des sureffectifs dans les salles de classe qui manquent d’électricité et dont les toitures sont souvent défaillantes.
Les festivités pascales en "pays Baoulé" dénommées "Paquinou", portent cette année à Pakouabo, sur le thème "Remobilisation et unité de tous pour le développement durable de Pakouabo".
(AIP)
zaar/cmas
A l’occasion du lancement des festivités de "Paquinou" initiées par la Mutuelle de développement économique et social de Pakouabo (MUDESPA), le sous-préfet a interpelé les parents qui ont, selon lui, décidé librement de faire de leurs enfants des étrangers dans leur propre village en les privant d’extrait de naissance.
« Les enfants fréquentent les établissements scolaires sans existence juridique car le fichier de l’état-civil de la Côte d’Ivoire ne les connaît pas », a-t-il déploré, en présence des cadres de Pakouabo et de la chefferie Traditionnelle locale.
Egrenant le chapelet des problèmes qui minent la sous-préfecture, M. N’Dri a évoqué le manque d’hygiène perceptible à travers la présence des dépotoirs, des herbes et des sachets de tous genres aussi bien devant les domiciles que les lieux privés et publics.
L’administrateur civil a souligné le problème des sureffectifs dans les salles de classe qui manquent d’électricité et dont les toitures sont souvent défaillantes.
Les festivités pascales en "pays Baoulé" dénommées "Paquinou", portent cette année à Pakouabo, sur le thème "Remobilisation et unité de tous pour le développement durable de Pakouabo".
(AIP)
zaar/cmas