Abidjan – Une trentaine de régisseurs des maisons d’arrêt et de correction de Côte d’Ivoire, prennent part à Abidjan à un atelier de formation visant à répondre au défi de la gestion des prisons et portant sur le thème "la gestion des prisons, un défi permanent".
Ouvert mercredi par le directeur de cabinet du Garde des Sceaux, ministre de la justice, des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques, Coulibaly Mohamed Vabé, les participants vont débattre des meilleures façons de contribuer à l’amélioration de la santé, de la nutrition et de l’hygiène des détenus, ainsi que de la maintenance des infrastructures des prisons en Côte d’Ivoire.
"L’amélioration des conditions de détention figure en bonne place dans l’agenda du garde des sceaux et donc il faut trouver les moyens pour que dans nos prisons, la vie soit meilleure et cela passe nécessairement par la formation des directeurs de ces établissements. Il faut qu’ils soient prêts à relever les défis qui se présentent à eux dans les établissements pénitentiaires, c’est à ça que répond ce genre de séminaire", a déclaré M. Coulibaly.
Selon le directeur de cabinet du garde des sceaux, les réformes entreprises par l’Etat ont amélioré "aujourd’hui" les conditions de vie dans l’univers carcéral.
"Au niveau de l’alimentation, l’Etat a fait un gros effort en augmentant le budget alloué à l’amélioration des conditions des détenus et ça se voit. Nous sommes passés d’un repas par jour à deux repas maintenant", a-t-il indiqué.
Le délégué régional CICR à Abidjan, Jean Jacques Tshamala s’est félicité de la tenue de ce 5ème séminaire du genre qui selon lui ne reste pas lettre morte au regard des recommandations qui sont prises en compte par les autorités.
"Nous travaillons au quotidien avec les autorités, nous faisons nos recommandations et ce que je peux dire, c’est que les autorités sont attentives à nos recommandations. Grâce à nos recommandations le budget en nourriture a été augmenté et c’est un effort que le CICR salue. Pour le reste nous saluons l’ouverture et la collaboration des autorités ivoiriennes", s’est félicité M. Tshamala.
L’atelier qui prend fin samedi est une initiative du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), en collaboration avec le ministère de la Justice, des droits de l'homme et des libertés publiques.
gak /akn/kam
Ouvert mercredi par le directeur de cabinet du Garde des Sceaux, ministre de la justice, des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques, Coulibaly Mohamed Vabé, les participants vont débattre des meilleures façons de contribuer à l’amélioration de la santé, de la nutrition et de l’hygiène des détenus, ainsi que de la maintenance des infrastructures des prisons en Côte d’Ivoire.
"L’amélioration des conditions de détention figure en bonne place dans l’agenda du garde des sceaux et donc il faut trouver les moyens pour que dans nos prisons, la vie soit meilleure et cela passe nécessairement par la formation des directeurs de ces établissements. Il faut qu’ils soient prêts à relever les défis qui se présentent à eux dans les établissements pénitentiaires, c’est à ça que répond ce genre de séminaire", a déclaré M. Coulibaly.
Selon le directeur de cabinet du garde des sceaux, les réformes entreprises par l’Etat ont amélioré "aujourd’hui" les conditions de vie dans l’univers carcéral.
"Au niveau de l’alimentation, l’Etat a fait un gros effort en augmentant le budget alloué à l’amélioration des conditions des détenus et ça se voit. Nous sommes passés d’un repas par jour à deux repas maintenant", a-t-il indiqué.
Le délégué régional CICR à Abidjan, Jean Jacques Tshamala s’est félicité de la tenue de ce 5ème séminaire du genre qui selon lui ne reste pas lettre morte au regard des recommandations qui sont prises en compte par les autorités.
"Nous travaillons au quotidien avec les autorités, nous faisons nos recommandations et ce que je peux dire, c’est que les autorités sont attentives à nos recommandations. Grâce à nos recommandations le budget en nourriture a été augmenté et c’est un effort que le CICR salue. Pour le reste nous saluons l’ouverture et la collaboration des autorités ivoiriennes", s’est félicité M. Tshamala.
L’atelier qui prend fin samedi est une initiative du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), en collaboration avec le ministère de la Justice, des droits de l'homme et des libertés publiques.
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