La performance du portefeuille des projets financés ou cofinancés par la Banque mondiale en Côte d’Ivoire a fait l’objet d’une 3ème revue annuelle le 18 mai à Abidjan. A l’ouverture des travaux de cette évaluation opérée conjointement par la Banque mondiale et le gouvernement ivoirien, le Premier ministre, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, M. Daniel Kablan Duncan s’est félicité du fait que la Côte d’Ivoire soit le pays d’Afrique qui a bénéficié du plus fort taux de décaissement annuel durant la précédente année budgétaire de la Banque mondiale.
Estimé à 50%, ce taux est le double de l’objectif retenu pour chacun des pays du continent.
Devant cette performance, le Chef du gouvernement a formulé à l’endroit des coordonateurs nationaux de projets, un nouvel objectif : « atteindre un taux d’efficacité de 100% d’ici 2018 dans l’exécution du portefeuille de projets de la Banque mondiale ».
Le taux d’efficacité actuel étant à 50%. Ce nouvel objectif est d’autant plus déterminant pour la Côte d’Ivoire, si elle veut parvenir à l’émergence à l’horizon 2020. Car, selon le Directeur des Opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, M. Ousmane Diagana, des pays émergents comme la Chine, le Brésil et l’Inde affichent des taux de décaissement annuels de l’ordre de 70% et des taux d’efficacité avoisinant les 100%.
Pour atteindre ces objectifs, le Premier ministre a demandé aux parties prenantes qui exécutent les projets de la Banque mondiale, de s’atteler à réduire les délais de traitement des dossiers, de renforcer la transparence en matière de passation de marché public, de se fixer des délais dans leur travail et de renforcer leurs capacités. Poursuivant dans la même dynamique, le ministre auprès du Premier ministre, chargé de l’Economie et des Finances, Mme Nialé Kaba, a souligné la nécessité que la Banque mondiale appui le secteur privé et procède à un accroissement de l’enveloppe financière destinée à la Côte d’Ivoire.
Estimé à 50%, ce taux est le double de l’objectif retenu pour chacun des pays du continent.
Devant cette performance, le Chef du gouvernement a formulé à l’endroit des coordonateurs nationaux de projets, un nouvel objectif : « atteindre un taux d’efficacité de 100% d’ici 2018 dans l’exécution du portefeuille de projets de la Banque mondiale ».
Le taux d’efficacité actuel étant à 50%. Ce nouvel objectif est d’autant plus déterminant pour la Côte d’Ivoire, si elle veut parvenir à l’émergence à l’horizon 2020. Car, selon le Directeur des Opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, M. Ousmane Diagana, des pays émergents comme la Chine, le Brésil et l’Inde affichent des taux de décaissement annuels de l’ordre de 70% et des taux d’efficacité avoisinant les 100%.
Pour atteindre ces objectifs, le Premier ministre a demandé aux parties prenantes qui exécutent les projets de la Banque mondiale, de s’atteler à réduire les délais de traitement des dossiers, de renforcer la transparence en matière de passation de marché public, de se fixer des délais dans leur travail et de renforcer leurs capacités. Poursuivant dans la même dynamique, le ministre auprès du Premier ministre, chargé de l’Economie et des Finances, Mme Nialé Kaba, a souligné la nécessité que la Banque mondiale appui le secteur privé et procède à un accroissement de l’enveloppe financière destinée à la Côte d’Ivoire.
