Désormais à Abidjan (capitale économique de la Côte d’Ivoire), il faudra compter au nombre des restaurants hi-tech, ‘‘chez Marcène’’. C’est dans un contexte de rude concurrence que Bley Marcène, (promotrice), a ouvert ce restaurant de dernière génération. Ouvert sur les cendres de l’ancienne boîte de nuit, ‘‘la Java’’, le restaurant Marcène est situé au plateau, face à l’immeuble Mali, avec toutes les commodités d’une apparence occidentale et américaine. Voire féérique. Qui répond aux normes internationales. Outre la salle officielle, il existe deux salles VIP, pour les importantes rencontres (le B to B). Un investissement au pays qui respecte strictement l’appel du chef de l’Etat à la diaspora ivoirienne à investir au pays.
Que de difficultés à investir chez soi. Depuis 19 ans, la promotrice du restaurant ‘‘Chez Marcène’’ est à l’étranger, (USA), elle entame une carrière professionnelle de restauratrice il y a maintenant 15 années. Mais c’est dans un état à la fois mixé d’encouragement et de déception qu’elle gère ce nouveau restaurant. Sa déception tire sa source dans le doute d’une capacité de l’ivoirien à pouvoir réaliser des œuvres aussi parfaites. « Je n’ai sollicité l’aide de personne pour venir ouvrir ici. Mais les ivoiriens ne font pas confiance à leurs frères. Ils ne pensent pas que des frères ivoiriens puissent faire quelque chose de bien » s’est-elle plainte. Bien que la clientèle se fait rare à cet endroit, voir des jeunes gens qu’elle emploie s’occuper la conforte dans son choix d’investir en Côte d’Ivoire. Car de son point de vue, sa jeune entreprise concoure à la création d’emploi. « Ça permet d’offrir des emplois aux jeunes. Ce restaurant emploi déjà plusieurs personnes. Et ce n’est pas fini. Puisqu’il va falloir en employer encore » s’est réjouie Marcène Bley. Cependant, elle lance un cri de cœur aux autorités ivoiriennes. « Qu’on donne la chance à tout le monde. Et encourager ceux qui veulent investir ici en Côte d’Ivoire ». Au restaurant ‘‘chez Marcène’’, c’est la restauration de qualité au service de l’humanité. Vivre mieux et être en bonne santé, c’est aussi mieux se nourrir. Rendez-vous ‘‘Chez Marcène’’.
Bosco de Paré
Que de difficultés à investir chez soi. Depuis 19 ans, la promotrice du restaurant ‘‘Chez Marcène’’ est à l’étranger, (USA), elle entame une carrière professionnelle de restauratrice il y a maintenant 15 années. Mais c’est dans un état à la fois mixé d’encouragement et de déception qu’elle gère ce nouveau restaurant. Sa déception tire sa source dans le doute d’une capacité de l’ivoirien à pouvoir réaliser des œuvres aussi parfaites. « Je n’ai sollicité l’aide de personne pour venir ouvrir ici. Mais les ivoiriens ne font pas confiance à leurs frères. Ils ne pensent pas que des frères ivoiriens puissent faire quelque chose de bien » s’est-elle plainte. Bien que la clientèle se fait rare à cet endroit, voir des jeunes gens qu’elle emploie s’occuper la conforte dans son choix d’investir en Côte d’Ivoire. Car de son point de vue, sa jeune entreprise concoure à la création d’emploi. « Ça permet d’offrir des emplois aux jeunes. Ce restaurant emploi déjà plusieurs personnes. Et ce n’est pas fini. Puisqu’il va falloir en employer encore » s’est réjouie Marcène Bley. Cependant, elle lance un cri de cœur aux autorités ivoiriennes. « Qu’on donne la chance à tout le monde. Et encourager ceux qui veulent investir ici en Côte d’Ivoire ». Au restaurant ‘‘chez Marcène’’, c’est la restauration de qualité au service de l’humanité. Vivre mieux et être en bonne santé, c’est aussi mieux se nourrir. Rendez-vous ‘‘Chez Marcène’’.
Bosco de Paré
