Dimbokro – L’opération de révision de la liste électorale au point mort à Dimbokro depuis son lancement le mardi 2 juin dernier, connait un regain d’engouement de la part des populations, a révélé, mardi, Abo Kouadio Blanchard, secrétaire général (SG) de l’ONG Environnement Challenge et coordonnateur de la région du N’Zi.
Au dire de Kouadio Blanchard dont la structure est commise à la sensibilisation et à la mobilisation pour l’opération de révision de la liste électorale, les choses se passent désormais mieux.
"Nous sommes là depuis le samedi 13 juin et avons débuté la sensibilisation le lundi 15 dans les sous-préfectures avant de nous déployer dans la commune de Dimbokro. (...). Dans les centres avant notre arrivée, il n’y avait pas d’engouement. Les agents faisaient deux à trois pétitionnaires maxi par jour. Depuis notre présence sur le terrain, ces chiffres sont passés à six, sept voire huit selon les centres, approchant ainsi les dix pétitionnaires jour comme le prévoyait la CEI", a-t-il commenté.
Cependant, M. Abo relève que les nouveaux majeurs sont confrontés à des difficultés d’obtention de leurs cartes nationales d’identité et certificats de nationalité pour lesquels ils se sont inscrits régulièrement.
"Ils évoquent un découragement lié à cette situation. Beaucoup de ceux de la liste de 2010 évoquent les dégâts collatéraux de la crise postélectorale. Disons que la plus grosse difficulté résidait dans le manque de communication autour de l’opération mais aussi dans le fait que les populations se disent confrontées à des problèmes de déplacement. (...)", révèle Abo Kouadio.
A mi-parcours, le 16 juin, des agents interrogés dans des centres de Dimbokro-ville avouaient que l’opération était au point mort avec deux pétitionnaires par jour sur le territoire communal et dénonçaient aussi le manque de communication.
Lancée le 1er juin à Attiégouakro par le président de la Commission indépendante électorale (CEI), Issouf Bakayoko, l’opération de révision de la liste électorale s’achève le 30 juin.
zgrp/akn/ask
Au dire de Kouadio Blanchard dont la structure est commise à la sensibilisation et à la mobilisation pour l’opération de révision de la liste électorale, les choses se passent désormais mieux.
"Nous sommes là depuis le samedi 13 juin et avons débuté la sensibilisation le lundi 15 dans les sous-préfectures avant de nous déployer dans la commune de Dimbokro. (...). Dans les centres avant notre arrivée, il n’y avait pas d’engouement. Les agents faisaient deux à trois pétitionnaires maxi par jour. Depuis notre présence sur le terrain, ces chiffres sont passés à six, sept voire huit selon les centres, approchant ainsi les dix pétitionnaires jour comme le prévoyait la CEI", a-t-il commenté.
Cependant, M. Abo relève que les nouveaux majeurs sont confrontés à des difficultés d’obtention de leurs cartes nationales d’identité et certificats de nationalité pour lesquels ils se sont inscrits régulièrement.
"Ils évoquent un découragement lié à cette situation. Beaucoup de ceux de la liste de 2010 évoquent les dégâts collatéraux de la crise postélectorale. Disons que la plus grosse difficulté résidait dans le manque de communication autour de l’opération mais aussi dans le fait que les populations se disent confrontées à des problèmes de déplacement. (...)", révèle Abo Kouadio.
A mi-parcours, le 16 juin, des agents interrogés dans des centres de Dimbokro-ville avouaient que l’opération était au point mort avec deux pétitionnaires par jour sur le territoire communal et dénonçaient aussi le manque de communication.
Lancée le 1er juin à Attiégouakro par le président de la Commission indépendante électorale (CEI), Issouf Bakayoko, l’opération de révision de la liste électorale s’achève le 30 juin.
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