Abidjan - Le rapatriement des ressortissants burkinabés frappés par la mesure de déguerpissement du parc national du Mont Péko et désireux de regagner leur pays commencera d’ici la fin de l’année, période à laquelle partiront les premiers convois, a annoncé vendredi à Abidjan le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara.
Le chef de l’exécutif ivoirien a livré cette information au terme d’une séance de travail avec son homologue burkinabé, Michel Kafando, en visite en Côte d’Ivoire dans le cadre de la coopération entre les deux pays.
Localisé dans le grand Ouest ivoirien le parc national du Mont Péko est illégalement occupé par des populations dont une forte proportion de burkinabé qui y pratiquent l’agriculture notamment la culture du cacao. Le gouvernement ivoirien a récemment décidé du déguerpissement des occupants et travaille depuis lors avec le Burkina Faso pour ce qui concerne l’évacuation de ses ressortissants.
"Nous sommes convenus que tout sera mis en œuvre pour que le départ des volontaires vers le Burkina se fasse vers la fin de l’année une fois que nous nous serons mis d’accord sur les modalités qui seront définies par la commission conjointe mis en place à cet effet et qui a eu d’ailleurs le soutien du Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés", a déclaré Alassane Ouattara qui coanimait une conférence de presse avec son homologue burkinabé à l’issue de leur séance de travail.
(AIP)
kg/tm
Le chef de l’exécutif ivoirien a livré cette information au terme d’une séance de travail avec son homologue burkinabé, Michel Kafando, en visite en Côte d’Ivoire dans le cadre de la coopération entre les deux pays.
Localisé dans le grand Ouest ivoirien le parc national du Mont Péko est illégalement occupé par des populations dont une forte proportion de burkinabé qui y pratiquent l’agriculture notamment la culture du cacao. Le gouvernement ivoirien a récemment décidé du déguerpissement des occupants et travaille depuis lors avec le Burkina Faso pour ce qui concerne l’évacuation de ses ressortissants.
"Nous sommes convenus que tout sera mis en œuvre pour que le départ des volontaires vers le Burkina se fasse vers la fin de l’année une fois que nous nous serons mis d’accord sur les modalités qui seront définies par la commission conjointe mis en place à cet effet et qui a eu d’ailleurs le soutien du Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés", a déclaré Alassane Ouattara qui coanimait une conférence de presse avec son homologue burkinabé à l’issue de leur séance de travail.
(AIP)
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