x Télécharger l'application mobile Abidjan.net Abidjan.net partout avec vous
Télécharger l'application
INSTALLER
PUBLICITÉ

Faits Divers Publié le vendredi 14 août 2015 | L’intelligent d’Abidjan

Acte macabre des microbes ivoiriens contre Larissa Abogny à Yopougon : A Paris depuis lundi 10 Août 2015, Hamed Bakayoko suit l’affaire et ses zones d’ombre

© L’intelligent d’Abidjan Par Danielle Tagro
Réforme de la loi sur les Ongs: le ministre Hamed Bakayoko échange avec les associations
Mardi 4 août 2015 . Hôtel du district au Plateau . Le ministre d’Etat, ministre de l`Intérieur Hamed bakayoko a procédé au lancement des travaux d`échanges avec les associations et Ongs qui vont aboutir à la réforme de la loi sur les associations.
Dans le cadre des congés du gouvernement, le ministre d'État ivoirien, chargé de l'Intérieur et de la Sécurité a quitté Abidjan pour Paris, depuis Lundi soir. Le voyage s'effectuant dans un cadre privé et non officiel, ses services contactés par Afrikipresse.fr n'ont pas souhaité communiquer le détail éventuel de ses destinations de séjour en France, ou ailleurs dans le monde.
Ils ont fait savoir que le ministre d'État (tout comme le chef de l'État ivoirien lui-même et le Premier ministre ), n'est pas du tout déconnecté. Selon eux, le premier responsable ivoirien de la sécurité suit de près tout ce qui se passe dans le pays , et reste particulièrement réactif face à toute situation d'ordre administratif et sécuritaire, notamment l'acte macabre des « Microbes» contre une jeune étudiante assassinée plus de 24 heures après son départ, dans le quartier abidjanais de Yopougon.
« En liaison avec le cabinet et avec tous les services concernés, le ministre d'État suit ce dossier, comme tant d'autre notamment celui de Ferké que nous avons eu à gérer jusqu'à son départ. Nous déplorons ce qui s'est passé, mais nous rassurons les populations des dispositions prises. Par ailleurs c'est bien la liberté sur le net, et tout le reste mais il faut faire attention. La famille n'est pas saisie, aucune mort n'est signalée à la police mais, le monde entier est alerté. À cette allure on peut mener des enquêtes en mettant en péril la liberté des uns et des autres. Les témoins, et les sachant de cette agression devraient chercher à collaborer avec la police. La police et la justice ne se font pas le travail sur le virtuel, mais dans le réel, sur des faits précis et établis. Les éléments et les faits dont les citoyens disposent, doivent être portés à la police, à la gendarmerie, et à la justice. De plus en plus, quand une personne meurt, ou quand un enfant est introuvable, avant même de saisir la police et de porter plainte, des citoyens balancent des informations, des alertes et même des corps sans vie. Cette situation rend souvent le travail des services concernés, et amène à s'interroger sur les motivations des personnes faisant cela, sans oublier les amalgames auxquels nous assistons. Ce sont des interférences qui ne rendent service à personne.» , a confié sous couvert d'anonymat une source du ministère qui n'a pas souhaité révéler si une réaction officielle était en vue alors que les activités gouvernementales sont en veilleuse , jusqu'au prochain conseil des ministres prévu début septembre , à quelques 6 semaines de la présidentielle du 25 octobre 2015.
Charles Kouassi, pour afrikipresse.fr
PUBLICITÉ
PUBLICITÉ

Playlist Titrologie

Toutes les vidéos Titrologie à ne pas rater, spécialement sélectionnées pour vous

PUBLICITÉ