Divo – Un centre intégré d’Education Environnementale et de Formation aux Métiers du Palmier , fruit de la coop&eacu te;ration entre la ville de Genève (Suisse) et l’association pour la rénovation de la culture Dida (Arculdi), peuple de la région du Lôh-Djiboua, a été ouvert, mercredi, au quartier Vatican de Divo.
Dans ce centre se fera l’éducation environnementale, la conservation d’espèces utiles dans un jardin botanique, la formation aux métiers du palmier ainsi que la commercialisation des produits issus du travail des membres de l’Association.
Il s’agit donc d’une structure dont la vocation première est la promotion du développement durable, a-t-on appris.
Selon l’administrateur du projet par ailleurs Responsable de la Coopération Internationale au Conservatoire et Jardin Botanique de Genève, M. Didier Roguet, le plus important reste désormais la viabilité et la pérennisation du centre.
« Nous avons besoin de ressources tant matérielles qu’humaines pour que cette expérience soit un succès », a-t-il dit.
Cette préoccupation est partagée par le représentant du centre Suisse de recherche en Côte d’Ivoire, Dr Dao Daouda.
Il souligne que cette initiative a un volet scientifique parce qu’elle donne aux scientifiques la possibilité de travailler directement avec les populations.
Depuis 2014 la Ville de Genève, à travers son Fond de solidarité, a décidé de venir en appui aux artisans de l’Arculdi travaillant avec comme matière première divers organes de différentes espèces de palmier.
Cette association est composée majoritairement de femmes. Ce projet, intitulé « palmiers solidaires » est piloté par les Con servatoire et Jardin Botaniques de la Ville de Genève (CJB) et le Centre Suisse de Recherches Scientifiques en Côte d’Ivoire (CSRS).
(AIP)
gso/akn/ask
Dans ce centre se fera l’éducation environnementale, la conservation d’espèces utiles dans un jardin botanique, la formation aux métiers du palmier ainsi que la commercialisation des produits issus du travail des membres de l’Association.
Il s’agit donc d’une structure dont la vocation première est la promotion du développement durable, a-t-on appris.
Selon l’administrateur du projet par ailleurs Responsable de la Coopération Internationale au Conservatoire et Jardin Botanique de Genève, M. Didier Roguet, le plus important reste désormais la viabilité et la pérennisation du centre.
« Nous avons besoin de ressources tant matérielles qu’humaines pour que cette expérience soit un succès », a-t-il dit.
Cette préoccupation est partagée par le représentant du centre Suisse de recherche en Côte d’Ivoire, Dr Dao Daouda.
Il souligne que cette initiative a un volet scientifique parce qu’elle donne aux scientifiques la possibilité de travailler directement avec les populations.
Depuis 2014 la Ville de Genève, à travers son Fond de solidarité, a décidé de venir en appui aux artisans de l’Arculdi travaillant avec comme matière première divers organes de différentes espèces de palmier.
Cette association est composée majoritairement de femmes. Ce projet, intitulé « palmiers solidaires » est piloté par les Con servatoire et Jardin Botaniques de la Ville de Genève (CJB) et le Centre Suisse de Recherches Scientifiques en Côte d’Ivoire (CSRS).
(AIP)
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