Il ne fait que cent mètres de long, mais c’est le tunnel le plus célèbre du continent. À Abidjan, en 1962, Félix Houphouët-Boigny a fait percer un souterrain entre sa résidence des bords de la lagune Ébrié et celle de l’ambassadeur de France. Côté ivoirien, on entrait dans ce tunnel par une porte située dans les sous-sols du bâtiment présidentiel. Puis on dévalait un escalier. Côté français, on en ressortait au niveau du mur d’enceinte qui sépare les deux résidences.
Aujourd’hui, on peut encore apercevoir dans ce mur une porte métallique et, juste au-dessus, un auvent en parpaing et en tôle ondulée. De 1962 à 1993 – jusqu’à la mort d’Houphouët -, cet ouvrage a été soigneusement entretenu et gardé par l’armée française. Une reproduction... suite de l'article sur Jeune Afrique
Aujourd’hui, on peut encore apercevoir dans ce mur une porte métallique et, juste au-dessus, un auvent en parpaing et en tôle ondulée. De 1962 à 1993 – jusqu’à la mort d’Houphouët -, cet ouvrage a été soigneusement entretenu et gardé par l’armée française. Une reproduction... suite de l'article sur Jeune Afrique