Abidjan - Une vaste opération de test d’ADN au sein de la police judiciaire parisienne a débuté jeudi afin de mettre un nom sur l’empreinte ADN retrouvée lors de l’examen médical sur une canadienne de 34 ans violée à Paris, non loin du Quai des Orfèvres sur l'île de la Cité.
Plus d'une centaine de membres de la Brigade criminelle, de la Brigade des stupéfiants et de la BRI (Brigade de recherche et d'int ervention) vont devoir se plier à un test génétique qui va durer trois jours.
Les juges en charge du dossier tentent de mettre un nom sur une empreinte ADN non identifiée, retrouvée lors de l'examen médical de la victime, une Canadienne, et déterminer si un autre policier présent le soir des faits, aurait participé à l'agression sexuelle présumée.
Cette vaste opération est la suite d’une plainte déposée le 24 avril 2014, quelques heures après les faits dénoncés par la victime supposée, qui a abouti à l'ouverture d'une enquête par le parquet de Paris.
Cette dernière affirme avoir été violée dans les locaux de la BRI mais quatre policiers placés en garde à vue ont toujours nié avoir violé la jeune femme, évoquant seul ement des relations sexuelles consenties.
(AIP)
sdaf/cmas
Plus d'une centaine de membres de la Brigade criminelle, de la Brigade des stupéfiants et de la BRI (Brigade de recherche et d'int ervention) vont devoir se plier à un test génétique qui va durer trois jours.
Les juges en charge du dossier tentent de mettre un nom sur une empreinte ADN non identifiée, retrouvée lors de l'examen médical de la victime, une Canadienne, et déterminer si un autre policier présent le soir des faits, aurait participé à l'agression sexuelle présumée.
Cette vaste opération est la suite d’une plainte déposée le 24 avril 2014, quelques heures après les faits dénoncés par la victime supposée, qui a abouti à l'ouverture d'une enquête par le parquet de Paris.
Cette dernière affirme avoir été violée dans les locaux de la BRI mais quatre policiers placés en garde à vue ont toujours nié avoir violé la jeune femme, évoquant seul ement des relations sexuelles consenties.
(AIP)
sdaf/cmas
