Les pays africains doivent adopter des instruments et renforcer le contrôle aux frontières pour empêcher les groupes terroristes dans le continent d'acquérir des armes de destruction massive.
Cet appel a été lancé lors d'un forum ouvert lundi à Nairobi qui a rassemblé des experts en sécurité, des diplomates et des décideurs.
Le forum est organisé par l'Union africaine (UA) en collaboration avec le groupe régional l'Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD) et le groupe de réflexion, l'Institut d'études de sécurité (ISS) de l'Union européenne.
Les experts ont souligné la nécessité d'empêcher les terroristes d'acquérir des armes chimiques, biologiques et nucléaires reste un défi énorme pour la sécurité en Afrique.
"En Afrique, l'évolution de la menace du terrorisme, comme en témoigne la détermination des groupes terroristes à infliger la destruction aveugle, demande des efforts concertés pour réduire ces risques", a déclaré Einas Osman Abdalla Mohamed, agent principal de la politique, au département de la paix et de la sécurité à la Commission de l'UA.
Les Etats africains ont donné la priorité à la domestication des instruments internationaux aux côtés de la recherche scientifique afin de minimiser le risque pour les terroristes d'acquérir des armes chimiques.
M. Mohamed a fait savoir qu'il y a une volonté politique à travers l'Afrique subsaharienne pour lutter contre la prolifération des armes de destruction massive, à la lumière d'une hausse du terrorisme.
"Les Etats membres de l'UA attachent une grande importance à la mise en œuvre complète et effective de la résolution 1540 du Conseil de sécurité et des instruments multilatéraux relatifs au désarmement des armes chimiques", a précisé M. Mohamed.
La résolution 1540 du Conseil de sécurité des Nations Unies qui a été adoptée en 2004 énonce des mesures spécifiques que des pays devraient adopter pour lutter contre la prolifération des armes nucléaires, chimiques et biologiques.
Le forum de Nairobi a été conçu pour améliorer la mise en œuvre de la résolution 1540 et d'autres instruments sur la non-prolifération.
Cet appel a été lancé lors d'un forum ouvert lundi à Nairobi qui a rassemblé des experts en sécurité, des diplomates et des décideurs.
Le forum est organisé par l'Union africaine (UA) en collaboration avec le groupe régional l'Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD) et le groupe de réflexion, l'Institut d'études de sécurité (ISS) de l'Union européenne.
Les experts ont souligné la nécessité d'empêcher les terroristes d'acquérir des armes chimiques, biologiques et nucléaires reste un défi énorme pour la sécurité en Afrique.
"En Afrique, l'évolution de la menace du terrorisme, comme en témoigne la détermination des groupes terroristes à infliger la destruction aveugle, demande des efforts concertés pour réduire ces risques", a déclaré Einas Osman Abdalla Mohamed, agent principal de la politique, au département de la paix et de la sécurité à la Commission de l'UA.
Les Etats africains ont donné la priorité à la domestication des instruments internationaux aux côtés de la recherche scientifique afin de minimiser le risque pour les terroristes d'acquérir des armes chimiques.
M. Mohamed a fait savoir qu'il y a une volonté politique à travers l'Afrique subsaharienne pour lutter contre la prolifération des armes de destruction massive, à la lumière d'une hausse du terrorisme.
"Les Etats membres de l'UA attachent une grande importance à la mise en œuvre complète et effective de la résolution 1540 du Conseil de sécurité et des instruments multilatéraux relatifs au désarmement des armes chimiques", a précisé M. Mohamed.
La résolution 1540 du Conseil de sécurité des Nations Unies qui a été adoptée en 2004 énonce des mesures spécifiques que des pays devraient adopter pour lutter contre la prolifération des armes nucléaires, chimiques et biologiques.
Le forum de Nairobi a été conçu pour améliorer la mise en œuvre de la résolution 1540 et d'autres instruments sur la non-prolifération.