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Société Publié le jeudi 1 octobre 2015 | AIP

De jeunes volontaires pour l’environnement échangent sur les dispositions à prendre pour influencer la COP 21

© AIP Par DR
Transition verte de l’économie agricole ivoirienne: la CCI Côte d’Ivoire abrite la deuxième rencontre de l’Economie Verte de l’année 2015
Mercredi 17 juin 2015. Abidjan. Le groupe Be Développement et la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire ont animé un atelier sur le thème : « Bâtir une Agriculture ivoirienne durable et résiliente au changement climatique », en préparation de la Conférence des Nations Unies sur le Changements Climatiques (COP 21) qui se tiendra à Paris en décembre 2015.
Abidjan - Les dispositions à prendre, en vue d'influencer les accords de la 21ème Conférence des parties (COP21) en faveur des pays vulnérables aux émissions de Gaz à effet de serre (GES) ont été, mercredi, au centre de la journée d’échanges et d’informations de Jeunes volontaires pour l’environnement Côte d’Ivoire (JVE).

Cet atelier, qui visait à "susciter une masse critique" vis-à-vis des décisions à prendre, a eu lieu au siège de la Conférence épiscopale régionale de l’Afrique de l’ouest (CERAO) sis à Cocody deux Plateaux Aghien, avec la participation des Hommes de média et de la société civile.

En attendant les résolutions finales des réflexions qui seront transmises au ministre de l’environnement, de la salubrité urbaine et du développement durable (MESUDD), le secrétaire exécutif de JVE, Charles Baimey, a invité le gouvernement à défendre toutes « les décisions susceptibles de conduire la Côte d’Ivoire dans des problèmes ».

Charles Baimey a lancé un appel aux autorités ivoiriennes à avoir des visions communes en matière de lutte contre le changement climatique, face au projet de développement qui devient un impératif, lors de cet atelier qui a porté sur le thème "Mobilisons-nous pour un accord climat ambitieux en faveur des pays vulnérables".

Le chef du service département de l’organisation, Bédjé Assémian Nicaise, a souligné pour sa part que ce qu’il faut éviter, lors du sommet parisien prévu de novembre à décembre, c’est « de remettre à plus tard des engagements qui doivent être pris aujourd’hui », attirant l’attention de tous sur « les investissements et infrastructures climaticides ».

Le représentant du MESUDD, Zian Appolinaire, a rappelé que la contribution nationale à la réduction des GES s’élève à 28 %, avant d’indiquer aux participants qu’il est de leur devoir d’aider les décideurs à orienter leurs actions dans le sens du progrès véritable.

La COP, qui se présente comme un cadre de rencontre annuel pour statuer sur les conditions pratiques de lutte contre le changement climatique, a démarré à Berlin, en Allemagne, en 1995.

(AIP)
ar/akn/ask
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