Dabou – Le président du Conseil régional des Grands ponts, par ailleurs directeur régional de campagne (DRC) du candidat du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), Gabriel Yacé, a expliqué, jeudi, lors d’un entretien avec l’AIP, comment son aspirant a réussi à convaincre les populations de Dabou de voter pour lui, faisant passer son score de 18,30% à la présidentielle de 2010, à 61,09% en 2015.
‘’J’ai expliqué aux populations que l’enjeu n’était pas doctrinal. Pour un pays qui sort de guerre comme le nôtre, il s’agissait d’avoir une approche de reconstruction. Et l’homme qui peut le faire est le docteur Alassane Ouattara’’, a affirmé Gabriel Yacé qui a animé des dizaines de meetings et parcouru la quasi-totalité des villages du Leboutou (aire gé ographique des 40 villages) pour ‘’vendre’’ celui qu’il appelle ‘’le macro-acteur du développement’’.
La promesse d’un Centre hospitalier régional (CHR), le prolongement de l’autoroute jusqu’à Dabou, ‘’fin 2016, début 2017’’, l’ouverture d’une annexe de l’université Felix Houphouët Boigny sont, entre autres, les projets structurants qui lui ont permis de convaincre plus de la moitié des 22 192 électeurs de Dabou de porter leur choix sur Alassane Ouattara, a-t-on relevé.
‘’Ça été un vote pour le développement, un vote qui va au-delà des partis politiques’’, a-t-il insisté, ajoutant les travaux de la ville industrielle nouvelle d’Akradio, ‘’un projet de plusieurs centaines de milliards de FCFA&r squo;’, qui va changer aussi le visage de Débrimou, de Vieil Aklodj, etc.
Dabou, ville où est né le Front populaire ivoirien (FPI), actuellement le principal parti d’opposition, a donc choisi de ‘’prendre sa part dans le deuxième miracle de la Côte d’Ivoire qui se profile à l’horizon’’, a conclu Gabriel Yacé qui exhorte cependant les populations des Grands ponts (Dabou, Jacqueville et Grand-Lahou) à adhérer au concept de régionalisme qui, selon lui, a fait la force des grandes nations et a permis de mener le développement des régions vers la capitale.
Lors de l’élection présidentielle du 25 octobre, le chef de l’Etat sortant qui était face à six challengers a remporté le scrutin au premier tour par un score sans appel de 83, 66% des suffrages exprimés, rappelle-t-on.
(AIP)
kkp/tm
‘’J’ai expliqué aux populations que l’enjeu n’était pas doctrinal. Pour un pays qui sort de guerre comme le nôtre, il s’agissait d’avoir une approche de reconstruction. Et l’homme qui peut le faire est le docteur Alassane Ouattara’’, a affirmé Gabriel Yacé qui a animé des dizaines de meetings et parcouru la quasi-totalité des villages du Leboutou (aire gé ographique des 40 villages) pour ‘’vendre’’ celui qu’il appelle ‘’le macro-acteur du développement’’.
La promesse d’un Centre hospitalier régional (CHR), le prolongement de l’autoroute jusqu’à Dabou, ‘’fin 2016, début 2017’’, l’ouverture d’une annexe de l’université Felix Houphouët Boigny sont, entre autres, les projets structurants qui lui ont permis de convaincre plus de la moitié des 22 192 électeurs de Dabou de porter leur choix sur Alassane Ouattara, a-t-on relevé.
‘’Ça été un vote pour le développement, un vote qui va au-delà des partis politiques’’, a-t-il insisté, ajoutant les travaux de la ville industrielle nouvelle d’Akradio, ‘’un projet de plusieurs centaines de milliards de FCFA&r squo;’, qui va changer aussi le visage de Débrimou, de Vieil Aklodj, etc.
Dabou, ville où est né le Front populaire ivoirien (FPI), actuellement le principal parti d’opposition, a donc choisi de ‘’prendre sa part dans le deuxième miracle de la Côte d’Ivoire qui se profile à l’horizon’’, a conclu Gabriel Yacé qui exhorte cependant les populations des Grands ponts (Dabou, Jacqueville et Grand-Lahou) à adhérer au concept de régionalisme qui, selon lui, a fait la force des grandes nations et a permis de mener le développement des régions vers la capitale.
Lors de l’élection présidentielle du 25 octobre, le chef de l’Etat sortant qui était face à six challengers a remporté le scrutin au premier tour par un score sans appel de 83, 66% des suffrages exprimés, rappelle-t-on.
(AIP)
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