Korhogo - Une conférence suivie de débats, pour chercher des solutions à la persistance des conflits entre éleveurs et agriculteurs, sera organisée jeudi à Korhogo, à l’initiative du Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique (Pasres) et la Chambre nationale d’agriculture, annoncent les organisateurs.
"Face à l’ampleur de la situation, qui met en mal l’agriculture ivoirienne", il s’agit "d’engager le débat avec tous les acteurs du monde agricole, afin de trouver les mesures idoines pour mettre fin à ce phénomène", indique le service de communication de la Chambre nationale d’agriculture.
Des partenaires au développement comme l’Union européenne (UE), la Banque africaine de développement (BAD) ou l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), ainsi que des autorités administratives et judiciaires locales prendront part à ces discussions.
D’août à février 2015, 276 cas de conflits entre éleveurs et agriculteurs ont été enregistrés à la seule sous-préfecture d’Odienné, déplore la chambre consulaire, rappelant que l’agriculture, qui englobe à la fois les productions végétale et animale, emploie 2/3 de la population ivoirienne active et contribue pour 24% au Produit intérieur brut (PIB).
kaem/ask
"Face à l’ampleur de la situation, qui met en mal l’agriculture ivoirienne", il s’agit "d’engager le débat avec tous les acteurs du monde agricole, afin de trouver les mesures idoines pour mettre fin à ce phénomène", indique le service de communication de la Chambre nationale d’agriculture.
Des partenaires au développement comme l’Union européenne (UE), la Banque africaine de développement (BAD) ou l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), ainsi que des autorités administratives et judiciaires locales prendront part à ces discussions.
D’août à février 2015, 276 cas de conflits entre éleveurs et agriculteurs ont été enregistrés à la seule sous-préfecture d’Odienné, déplore la chambre consulaire, rappelant que l’agriculture, qui englobe à la fois les productions végétale et animale, emploie 2/3 de la population ivoirienne active et contribue pour 24% au Produit intérieur brut (PIB).
kaem/ask
