L'insuffisance de matériel, notamment les machines à dactylographier est l'une des raisons de la lenteur dans la délivrance des actes à la sous-préfecture de Dimbokro que dénoncent les usagers de ce service administratif, selon le Sous-préfet, Yapo Assamoi Stéphane.
"Nous disposons d’une seule machine à dactylographier depuis que deux autres ne sont plus fonctionnelles. La semaine dernière, j’ai dû acquérir une de ma propre poche", a dit Yapo Assamoi, évoquant en sus, "la demande d’actes (de naissance, de décès…) est très forte, environ une centaine par jour, car outre ceux situés dans la commune, nous avons une trentaine de villages à gérer".
En outre le Sous-préfet relève l’impératif contrôle minutieux avant de signer les actes, car il y a trop de faux documents qui circulent au niveau de l’état civil. "Le plus gros problème lié à cette lenteur réside aussi dans la fraude. Beaucoup de registres sont en voie de destruction, ou incomplets, et je dois rigoureusement vérifier pour ne pas signer de faux documents, recourir souvent au procureur si le faux est avéré, afin qu’il autorise l’établissement d’un jugement supplétif pour ne pas pénaliser le requérant. J’ai le souci d’assainir mon état civil", a-t-il ajouté.
"Il est bon que la sous-préfecture soit équipée d’au moins trois machines en plus, voire de matériel informatique avec un logiciel pour gérer efficacement l’état civil et résorber cet état de fait. D’ailleurs dans tous mes rapports trimestriels, je n’ai cesse de mentionner cela", souhaite Yapo Assamoi, saluant encore ici "le don d’un ordinateur fait par la délégation départementale du RDR qui a promis compléter cet équipement avec une imprimante et un onduleur que nous attendons. Si cet appareil venait à être doté d’un logiciel, le problème serait en grande partie résolu".
zgrp/ask
"Nous disposons d’une seule machine à dactylographier depuis que deux autres ne sont plus fonctionnelles. La semaine dernière, j’ai dû acquérir une de ma propre poche", a dit Yapo Assamoi, évoquant en sus, "la demande d’actes (de naissance, de décès…) est très forte, environ une centaine par jour, car outre ceux situés dans la commune, nous avons une trentaine de villages à gérer".
En outre le Sous-préfet relève l’impératif contrôle minutieux avant de signer les actes, car il y a trop de faux documents qui circulent au niveau de l’état civil. "Le plus gros problème lié à cette lenteur réside aussi dans la fraude. Beaucoup de registres sont en voie de destruction, ou incomplets, et je dois rigoureusement vérifier pour ne pas signer de faux documents, recourir souvent au procureur si le faux est avéré, afin qu’il autorise l’établissement d’un jugement supplétif pour ne pas pénaliser le requérant. J’ai le souci d’assainir mon état civil", a-t-il ajouté.
"Il est bon que la sous-préfecture soit équipée d’au moins trois machines en plus, voire de matériel informatique avec un logiciel pour gérer efficacement l’état civil et résorber cet état de fait. D’ailleurs dans tous mes rapports trimestriels, je n’ai cesse de mentionner cela", souhaite Yapo Assamoi, saluant encore ici "le don d’un ordinateur fait par la délégation départementale du RDR qui a promis compléter cet équipement avec une imprimante et un onduleur que nous attendons. Si cet appareil venait à être doté d’un logiciel, le problème serait en grande partie résolu".
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