"Aidez-nous !", s'écrie Albert Atcho, ramenant son filet vide sur les rivages de la lagune de Grand-Lahou, en Côte d'Ivoire. Coincés entre la mer et la lagune, 20 000 pêcheurs et habitants subissent au quotidien comme lui, désemparés, les conséquences du réchauffement climatique.
La ville de Grand-Lahou, située sur une bande de terre au milieu de l’eau à une centaine de kilomètres d’Abidjan, a déjà quelques « réfugiés climatiques »: des habitants de la ville ont vu leurs maisons « mangées » par la montée des eaux et l’érosion.
Selon les experts, la montée des eaux met en péril la vie de 20 000 habitants de cette région de pêcheurs du littoral ivoirien, riche en ressources naturelles et dotée d’un énorme potentiel agricole et halieutique. suite de l'article sur Jeune Afrique
La ville de Grand-Lahou, située sur une bande de terre au milieu de l’eau à une centaine de kilomètres d’Abidjan, a déjà quelques « réfugiés climatiques »: des habitants de la ville ont vu leurs maisons « mangées » par la montée des eaux et l’érosion.
Selon les experts, la montée des eaux met en péril la vie de 20 000 habitants de cette région de pêcheurs du littoral ivoirien, riche en ressources naturelles et dotée d’un énorme potentiel agricole et halieutique. suite de l'article sur Jeune Afrique