Finesse, créativité et savoir-faire. Loïc Dablé, 31 ans, formé à l’École de Paris des métiers de la table, n’a rien à envier aux meilleurs chefs parisiens. Mais, contrairement à ses pairs, le Franco-Ivoirien, passé par les cuisines du George V, du Meurice et de l’Apicius, marche sur des terres encore presque inconnues en conjuguant Afrique et gastronomie. Caille rôtie au bissap blanc et farcie aux trompettes de la mort, brandade de lieu noir et patate douce, risotto de poulet fumé et son écume de piment, la « cuisine fusion » de ce trentenaire originaire de Seine-Saint-Denis dynamite les stéréotypes culinaires.
Depuis octobre, l’ancien apprenti de l’Auberge bressane a investi le café du musée Dapper, consacré aux arts africains et à deux pas de l’arc de... suite de l'article sur Jeune Afrique
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