Grand-Bassam – Les membres de 17 organisations réunies en une coalition d’associations d’enfants ont reçu une formation aux techniques d’élaboration des termes de référence et des rapports d’activité à l’initiative de l’Association des enfants et jeunes travailleurs de Côte d’Ivoire (AEJTCI) au Centre régional de lutte contre la drogue du Sud-Comoé basée à Grand-Bassam.
Selon le coordonnateur de l’AEJTCI, Roland Houéto Kinapkefan, pour défendre les droits des enfants, il faut renforcer les capacités des associations afin qu’elles puissent prendre en charge leurs préoccupations, notamment l’interdiction des pires formes de travail.
Les participants ont été outillés à la rédaction de toutes les séquences des termes de référence et du rapportage (procès-verbal d’une réunion, compte-rendu et rapport d’activité).
Selon le formateur, N’Dri Yao Claude, après leur formation sur les mécanismes juridiques de protection des enfants, ce séminaire visait à leur donner les outils pour présenter leurs requêtes aux organisations et instances de défense et de promotion des droits des enfants.
« Je suis très heureuse d’avoir participé à cette formation parce qu’elle nous a permis de savoir rendre compte de nos activités aux différentes autorités. J’ai beaucoup appris », a déclaré la présidente de la coalition des organisations des enfants, Mlle Konga Esther.
Ko/aaa/kp
Selon le coordonnateur de l’AEJTCI, Roland Houéto Kinapkefan, pour défendre les droits des enfants, il faut renforcer les capacités des associations afin qu’elles puissent prendre en charge leurs préoccupations, notamment l’interdiction des pires formes de travail.
Les participants ont été outillés à la rédaction de toutes les séquences des termes de référence et du rapportage (procès-verbal d’une réunion, compte-rendu et rapport d’activité).
Selon le formateur, N’Dri Yao Claude, après leur formation sur les mécanismes juridiques de protection des enfants, ce séminaire visait à leur donner les outils pour présenter leurs requêtes aux organisations et instances de défense et de promotion des droits des enfants.
« Je suis très heureuse d’avoir participé à cette formation parce qu’elle nous a permis de savoir rendre compte de nos activités aux différentes autorités. J’ai beaucoup appris », a déclaré la présidente de la coalition des organisations des enfants, Mlle Konga Esther.
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