Le président ivoirien Alassane Ouattara a annoncé jeudi "des réformes dans le secteur de l’hévéa et du palmier à huile" au cours de l’année 2016 afin de "garantir un meilleur revenu aux producteurs", dans un discours adressé à la Nation à l'occasion du nouvel an.
"Nous entreprendrons au cours de cette année 2016 des réformes dans le secteur de l’hévéa et du palmier à huile en vue de garantir de meilleurs revenus aux producteurs", a assuré Alassane Ouattara, dans un message de vœux du nouvel an.
Il s’agit d’"améliorer le rendement de leur exploitation et d’augmenter d’avantage leurs revenus", a soutenu M. Ouattara, qui a encouragé les paysans à "la transformation" des produits agricoles et afin de "stimuler la production industrielle".
M. Ouattara avait promis en septembre des mesures pour "garantir un prix rémunérateur aux planteurs" à la suite de la chute des prix de l’hévéa qui affecte le secteur de l’hévéaculture en Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire qui produit autour de 231.000 tonnes de caoutchouc naturel est le premier pays africain producteur d’hévéa. Les paysans éprouvent cependant beaucoup de difficultés à écouler leurs productions, avec la baisse des prix du kilogramme à 255 Fcfa.
Quant au palmier à huile, la Côte d’Ivoire occupe le rang de cinquième producteur mondial. Elle enregistre 1,6 million de tonnes de régimes usinés par an, selon un rapport, qui indique que la filière "fait vivre près de deux millions de personnes, soit 10% de la population".
Le secteur en Côte d’Ivoire quelques difficultés, qui ont entrainé des contre-performances des entreprises du secteur.
Sur le continent africain, le Nigéria occupe le rang de premier pays producteur d’huile de palme. L'Indonésie et la Malaisie représentent à eux-seules 86% de la production mondiale, avec 47,5 millions de tonnes d’huile de palme brute sur un total de 55,3 millions de tonnes à l’échelle internationale.
PAL
"Nous entreprendrons au cours de cette année 2016 des réformes dans le secteur de l’hévéa et du palmier à huile en vue de garantir de meilleurs revenus aux producteurs", a assuré Alassane Ouattara, dans un message de vœux du nouvel an.
Il s’agit d’"améliorer le rendement de leur exploitation et d’augmenter d’avantage leurs revenus", a soutenu M. Ouattara, qui a encouragé les paysans à "la transformation" des produits agricoles et afin de "stimuler la production industrielle".
M. Ouattara avait promis en septembre des mesures pour "garantir un prix rémunérateur aux planteurs" à la suite de la chute des prix de l’hévéa qui affecte le secteur de l’hévéaculture en Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire qui produit autour de 231.000 tonnes de caoutchouc naturel est le premier pays africain producteur d’hévéa. Les paysans éprouvent cependant beaucoup de difficultés à écouler leurs productions, avec la baisse des prix du kilogramme à 255 Fcfa.
Quant au palmier à huile, la Côte d’Ivoire occupe le rang de cinquième producteur mondial. Elle enregistre 1,6 million de tonnes de régimes usinés par an, selon un rapport, qui indique que la filière "fait vivre près de deux millions de personnes, soit 10% de la population".
Le secteur en Côte d’Ivoire quelques difficultés, qui ont entrainé des contre-performances des entreprises du secteur.
Sur le continent africain, le Nigéria occupe le rang de premier pays producteur d’huile de palme. L'Indonésie et la Malaisie représentent à eux-seules 86% de la production mondiale, avec 47,5 millions de tonnes d’huile de palme brute sur un total de 55,3 millions de tonnes à l’échelle internationale.
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