Il ne se passe pas d’année, sans que des syndicats aussi bien du secteur privé que du secteur public ne brandissent des menaces de grèves. Mauvaises conditions de travail et de vie des travailleurs est le générique du mécontentement de animateurs des différents secteurs d’activité. C’est pourquoi, le gouvernement, mis en place, devra pour le second mandat de Ouattara devra poser des actes concrets pour l’amélioration du quotidien des Ivoiriens, mais aussi qui rassurent sur sa capacité à apporter le bien-être aux Ivoiriens et rien de plus.
Au niveau de l’école (éducation nationale et enseignements supérieur), élèves, étudiants et autres professeurs ne manquent aucune occasion pour relever les insuffisances des différents systèmes, quand le gouvernement, lui, s’offre des moments de prise de parole pour évoquer sa «générosité» envers tous. Des établissements sous-équipés aux salaires régulièrement contestés des enseignants, en passant par la cherté des frais de scolarité, du matériel didactique coûteux, l’école a été toujours l’étincelle du front social.
Sur le plan de la santé, le régime Ouattara n’a presque pas donné satisfaction. Nos hôpitaux demeurent des mouroirs, parce que manquant du minimum et incapables d’accueillir ces milliers de malades qui sollicitent leurs services. Aujourd’hui, le souhait des populations ivoiriennes est que le gouvernement traduise en acte le projet de la couverture maladie universelle pour tous et dont on ne cesse de vanter les biens qu’elle pourrait apporter aux familles.
Par ailleurs, la cherté de la vie et la baisse du pouvoir d’achat, le coût exorbitant des loyers, constituent de gros soucis pour les Ivoiriens. Sur ces sujets, le régime Ouattara avant son avènement a multiplié des promesses qui tardent, hélas, à se réaliser, même si les logements sociaux, encore inachevés, bercent leurs acquéreurs d’espoirs.
A.BOUABRE
Au niveau de l’école (éducation nationale et enseignements supérieur), élèves, étudiants et autres professeurs ne manquent aucune occasion pour relever les insuffisances des différents systèmes, quand le gouvernement, lui, s’offre des moments de prise de parole pour évoquer sa «générosité» envers tous. Des établissements sous-équipés aux salaires régulièrement contestés des enseignants, en passant par la cherté des frais de scolarité, du matériel didactique coûteux, l’école a été toujours l’étincelle du front social.
Sur le plan de la santé, le régime Ouattara n’a presque pas donné satisfaction. Nos hôpitaux demeurent des mouroirs, parce que manquant du minimum et incapables d’accueillir ces milliers de malades qui sollicitent leurs services. Aujourd’hui, le souhait des populations ivoiriennes est que le gouvernement traduise en acte le projet de la couverture maladie universelle pour tous et dont on ne cesse de vanter les biens qu’elle pourrait apporter aux familles.
Par ailleurs, la cherté de la vie et la baisse du pouvoir d’achat, le coût exorbitant des loyers, constituent de gros soucis pour les Ivoiriens. Sur ces sujets, le régime Ouattara avant son avènement a multiplié des promesses qui tardent, hélas, à se réaliser, même si les logements sociaux, encore inachevés, bercent leurs acquéreurs d’espoirs.
A.BOUABRE
