Touba - A la faveur de la saison sèche qui prévaut actuellement, la direction des Eaux et Forêts de Touba a ouvert une session de renforcement des capacités à l’intention des comités de défense contre les feux de brousse de sept villages du département à qui les mesures de lutte ont été rappelées.
La cérémonie dite de réactivation de ces comités a été notamment marquée par une remise de matériels de travail. Les comités villageois de lutte contre les feux de brousse ont été mis en place en 2014 dans des villages de Touba, « une zone à risque, vu sa végétation et ses pratiques traditionnelles de chasse », selon le directeur départemental des Eaux et Forêts, Djan Yapo Evariste.
Ces comités ont pour missions de sensibiliser les populations sur les dangers des feux de brousse, d'initier des pare-feux autour des plantations, des villages et des cases, et de servir de relais entre les agents des Eaux et Forêts, l’administration préfectorale et les populations.
« Une centaine d’hectares de plantations de cacao, d’hévéa et d’anacarde ont été détruits, ainsi qu’une vingtaine de cases brûlées dans le village de Saboudougou et bien d’autres villages, les années antérieures. Depuis l’installation des comités villageois de lutte contre les feux de brousse, aucun dégâts majeur n’a été enregistré », a noté lors de cette session le commandant Djan.
(AIP)
dm/kg/cmas
La cérémonie dite de réactivation de ces comités a été notamment marquée par une remise de matériels de travail. Les comités villageois de lutte contre les feux de brousse ont été mis en place en 2014 dans des villages de Touba, « une zone à risque, vu sa végétation et ses pratiques traditionnelles de chasse », selon le directeur départemental des Eaux et Forêts, Djan Yapo Evariste.
Ces comités ont pour missions de sensibiliser les populations sur les dangers des feux de brousse, d'initier des pare-feux autour des plantations, des villages et des cases, et de servir de relais entre les agents des Eaux et Forêts, l’administration préfectorale et les populations.
« Une centaine d’hectares de plantations de cacao, d’hévéa et d’anacarde ont été détruits, ainsi qu’une vingtaine de cases brûlées dans le village de Saboudougou et bien d’autres villages, les années antérieures. Depuis l’installation des comités villageois de lutte contre les feux de brousse, aucun dégâts majeur n’a été enregistré », a noté lors de cette session le commandant Djan.
(AIP)
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