La marine nationale ivoirienne a été dotée, vendredi, d’un patrouilleur baptisé «Sékongo», pour accroître son dispositif de surveillance et faire face aux menaces en forte croissance en mer, a constaté APA sur place dans la capitale économique du pays, Abidjan.
A l'occasion de la remise de cet engin, Alain Richard Donwahi, ministre auprès du Président de la République, chargé de la Défense a exhorté, la marine nationale à «assurer une vigilance permanente dans les eaux ».
« Je vous exhorte à mettre tout en œuvre pour assurer une vigilance permanente dans les eaux », a insisté le ministre ivoirien en charge de la défense. Pour Alain Donwahi, «la marine est plus qu'outillée pour faire face aux menaces en forte croissance en mer. Il faut maintenir la lutte permanente dans les eaux ».
« C'est un évènement majeur qui couvre le dispositif de surveillance de l'eau (…). Ce n'est pas le dernier (patrouilleur), d'autres viendront », a-t-il promis à la réception de l'engin.
Pour sa part, le Contre-Amiral Djakaridja Konaté, Commandant de la marine nationale de Côte d'Ivoire, s'est réjoui de la réception de cet autre patrouilleur qui permettra entre autres « d'assurer une descente plus continue en mer et d'accomplir avec efficacité les missions ».
La flotte navale de la marine nationale présentait un tableau sombre selon son premier responsable depuis plusieurs années. « Avant la livraison de l'émergence (2014) et le bouclier en (2015), la marine nationale a réceptionné son dernier navire de guerre et de haute mer, le patrouilleur intrépide en 1977, une péniche dénommée Atchan en 1988 », a-t-il rappelé.
Le patrouilleur Capitaine de Frégate Sekongo a accosté, tôt vendredi matin, à la base annexe de la Marine nationale à la lisière du quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne après un périple de 3 semaines qui l'a conduit de Lorient en France avec des escales à Aghadir (Maroc) et à Dakar (Sénégal) sous la houlette du Capitaine Franck Kati Coulibaly.
Ce patrouilleur est baptisée «CF Sékongo » du nom du Capitaine de Frégate Sékongo Doulaye décédé au cours du chavirement d'une embarcation sous le Pont Félix Houphouët-Boigny en 2012 avec 5 autres marins.
SY/ls/APA
A l'occasion de la remise de cet engin, Alain Richard Donwahi, ministre auprès du Président de la République, chargé de la Défense a exhorté, la marine nationale à «assurer une vigilance permanente dans les eaux ».
« Je vous exhorte à mettre tout en œuvre pour assurer une vigilance permanente dans les eaux », a insisté le ministre ivoirien en charge de la défense. Pour Alain Donwahi, «la marine est plus qu'outillée pour faire face aux menaces en forte croissance en mer. Il faut maintenir la lutte permanente dans les eaux ».
« C'est un évènement majeur qui couvre le dispositif de surveillance de l'eau (…). Ce n'est pas le dernier (patrouilleur), d'autres viendront », a-t-il promis à la réception de l'engin.
Pour sa part, le Contre-Amiral Djakaridja Konaté, Commandant de la marine nationale de Côte d'Ivoire, s'est réjoui de la réception de cet autre patrouilleur qui permettra entre autres « d'assurer une descente plus continue en mer et d'accomplir avec efficacité les missions ».
La flotte navale de la marine nationale présentait un tableau sombre selon son premier responsable depuis plusieurs années. « Avant la livraison de l'émergence (2014) et le bouclier en (2015), la marine nationale a réceptionné son dernier navire de guerre et de haute mer, le patrouilleur intrépide en 1977, une péniche dénommée Atchan en 1988 », a-t-il rappelé.
Le patrouilleur Capitaine de Frégate Sekongo a accosté, tôt vendredi matin, à la base annexe de la Marine nationale à la lisière du quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne après un périple de 3 semaines qui l'a conduit de Lorient en France avec des escales à Aghadir (Maroc) et à Dakar (Sénégal) sous la houlette du Capitaine Franck Kati Coulibaly.
Ce patrouilleur est baptisée «CF Sékongo » du nom du Capitaine de Frégate Sékongo Doulaye décédé au cours du chavirement d'une embarcation sous le Pont Félix Houphouët-Boigny en 2012 avec 5 autres marins.
SY/ls/APA