Que nous réservent les organisateurs du Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo (FEMUA) qui est à sa neuvième édition ?. Il faudra patienter encore jusqu’au Jeudi prochain pour connaitre le déroulé du plus grand festival de Côte d’Ivoire.
En effet, les dates officielles du FEMUA seront connues lors du lancement officiel du festival, le 25 février 2016, à Paris (France), en présence de plusieurs artistes et personnalités.
« Dans quelques jours, la date sera confirmée, il nous faut tout boucler avant de l’annoncer » a indiqué Traoré Salif dit Asalfo, lead vocal du groupe Magic System, Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO et commissaire général du FEMUA lors d’une interview accordée à la presse le vendredi 12 Février dernier à l’occasion de la signature de partenariat entre la fondation Magic System et Côte d’Ivoire Tourisme (CIT).
Ainsi, les dates, le programme, les artistes et la délocalisation seront dévoilés au cours de cette cérémonie qui se tiendra au Siege de l’UNESCO à partir de 18H.
Cette année, pour la première fois et sauf changement, le FEMUA se délocalisera dans une ville de l’intérieur du pays.
Soulignons que le FEMUA est certes un produit d’Anoumabo, petit village situé dans la commune de Marcory, mais le concert de clôture est organisé dans une commune voisine.
Rappelons que l’édition 8 du festival qui s’est déroulée du 21 au 26 avril à Marcory et Koumassi a vu la participation de plusieurs artistes locaux tels Zouglou Makers, Baily Spinto, Ras Goody Brown, Antoinette Konan et plusieurs internationaux dont Fally Ipupa (RD Congo), Bracket (Nigeria), Smarty (Burkina Faso), Philip Monteiro (Cap Vert), Meta and the Cornerstones (Etats Unis), Zaho (France), Habib Koité (Mali), Joel Sebunjo (Ouganda), Freshlyground (Afrique du sud).
Le FEMUA a été créé pour permettre à la population d’Anoumabo d’accéder à un spectacle gratuit qu’elle n’aurait pas eu les moyens de s’offrir autrement. Il a aussi une dimension sociale et caritative très importante.
Depuis sa création en 2008, le festival a déjà permis la construction d’une école et des dons financiers et matériels à divers organismes tels que les hôpitaux ou encore les orphelinats de Côte d’Ivoire.
En effet, les dates officielles du FEMUA seront connues lors du lancement officiel du festival, le 25 février 2016, à Paris (France), en présence de plusieurs artistes et personnalités.
« Dans quelques jours, la date sera confirmée, il nous faut tout boucler avant de l’annoncer » a indiqué Traoré Salif dit Asalfo, lead vocal du groupe Magic System, Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO et commissaire général du FEMUA lors d’une interview accordée à la presse le vendredi 12 Février dernier à l’occasion de la signature de partenariat entre la fondation Magic System et Côte d’Ivoire Tourisme (CIT).
Ainsi, les dates, le programme, les artistes et la délocalisation seront dévoilés au cours de cette cérémonie qui se tiendra au Siege de l’UNESCO à partir de 18H.
Cette année, pour la première fois et sauf changement, le FEMUA se délocalisera dans une ville de l’intérieur du pays.
Soulignons que le FEMUA est certes un produit d’Anoumabo, petit village situé dans la commune de Marcory, mais le concert de clôture est organisé dans une commune voisine.
Rappelons que l’édition 8 du festival qui s’est déroulée du 21 au 26 avril à Marcory et Koumassi a vu la participation de plusieurs artistes locaux tels Zouglou Makers, Baily Spinto, Ras Goody Brown, Antoinette Konan et plusieurs internationaux dont Fally Ipupa (RD Congo), Bracket (Nigeria), Smarty (Burkina Faso), Philip Monteiro (Cap Vert), Meta and the Cornerstones (Etats Unis), Zaho (France), Habib Koité (Mali), Joel Sebunjo (Ouganda), Freshlyground (Afrique du sud).
Le FEMUA a été créé pour permettre à la population d’Anoumabo d’accéder à un spectacle gratuit qu’elle n’aurait pas eu les moyens de s’offrir autrement. Il a aussi une dimension sociale et caritative très importante.
Depuis sa création en 2008, le festival a déjà permis la construction d’une école et des dons financiers et matériels à divers organismes tels que les hôpitaux ou encore les orphelinats de Côte d’Ivoire.
