Korhogo – Le préfet de Korhogo, Daouda Ouattara, a émis lundi l’idée de nommer des médecins pour superviser les infirmeries privées de la ville, à l’issue d’une tournée de contrôles qui a révélé des anomalies dans le fonctionnement de ces établissements.
« Ces cliniques doivent être supervisées par des médecins. C’est des choses sur lesquelles nous allons vraiment insister (…) Il faut qu’on les suive pour que nos populations ne soient pas en danger », a déclaré à la presse M. Ouattara, déplorant les conditions d’exercice de ces infirmeries de quartier communément appelées « cliniques ».
Les visites, effectuées de façon inopinée quelques heures plus tôt par le préfet accompagné du directeur départemental de la santé, ont en effet permis de constater que la plupart de ces « cliniques » prospèrent dans des conditions d’hygiène et de sécurité sanitaire déplorables, manquent de personnels qualifiés et ne disposent pas d’autorisation.
En attendant la nomination de ces médecins superviseurs, le préfet Ouattara a appelé la population à éviter d’aller se faire soigner dans ces centres de santé privés lorsqu’ils n’offrent pas des conditions d’hygiène acceptables.
kaem/tm
« Ces cliniques doivent être supervisées par des médecins. C’est des choses sur lesquelles nous allons vraiment insister (…) Il faut qu’on les suive pour que nos populations ne soient pas en danger », a déclaré à la presse M. Ouattara, déplorant les conditions d’exercice de ces infirmeries de quartier communément appelées « cliniques ».
Les visites, effectuées de façon inopinée quelques heures plus tôt par le préfet accompagné du directeur départemental de la santé, ont en effet permis de constater que la plupart de ces « cliniques » prospèrent dans des conditions d’hygiène et de sécurité sanitaire déplorables, manquent de personnels qualifiés et ne disposent pas d’autorisation.
En attendant la nomination de ces médecins superviseurs, le préfet Ouattara a appelé la population à éviter d’aller se faire soigner dans ces centres de santé privés lorsqu’ils n’offrent pas des conditions d’hygiène acceptables.
kaem/tm
