C'est la question à laquelle, après les onze années d'instruction, l'ordonnance de la juge Sabine Khéris du 2 février 2016 ne donne toujours pas de réponse : pourquoi le gouvernement français a-t-il tout fait pour empêcher l'arrestation des pilotes, auteurs du bombardement de Bouaké en Côte d'Ivoire, le 6 novembre 2004, qui a coûté la vie à 9 militaires français. L'attitude « concertée » des ministres Dominique de Villepin, Michèle Alliot-Marie et Michel Barnier, dont la juge vient de solliciter le renvoi devant la Cour de Justice de la République, questionne toujours. Qu'ont-ils voulu cacher ?
Différentes hypothèses sont avancées. D'abord celle d'une France ne voulant pas que les projecteurs se braquent sur son action en Côte d'Ivoire et dans la région. Sans... suite de l'article sur RFI
Différentes hypothèses sont avancées. D'abord celle d'une France ne voulant pas que les projecteurs se braquent sur son action en Côte d'Ivoire et dans la région. Sans... suite de l'article sur RFI