Tanda - Les populations de plusieurs quartiers de Tanda sont sans eau potable et cela depuis près de deux semaines, a constaté l'AIP sur place.
"Ni dans les pompes de la SODECI ni dans les puits on ne saurait trouver de l'eau pour se laver, se rafraîchir encore moins pour faire la cuisine " déplore M. Ouattara Adama, habitant de Zongo, un quartier fortement peuplé où l'eau est vraiment rare.
À Tanda, en effet, depuis un certain temps, seuls quelques quartiers ont droit à de l'eau potable mais à des heures souvent indues et cela malgré l'augmentation du nombre de forages et qui apparemment semble insuffisants, indique-t-on. L'une des raisons avancées par le deuxième adjoint au maire, M. Ouattara Amadou, est, non seulement la longue sécheresse que connaît la cité depuis le mois d'octobre mais aussi, le système d’adduction d’eau potable inadapté pour une population en pleine croissance.
Les habitants sont contraints de se lever à deux heures ou trois heures du matin pour juste un peu d'eau, soit se diriger vers le barrage situé à près de deux kilomètres de la ville et initialement prévu pour les bœufs et les moutons. Les propriétaires des motos taxi (tricycle) se frottent les mains, car avec 3000 francs CFA vous avez trois barils d'eau.
(AIP)
si/kkf/akn/ask
"Ni dans les pompes de la SODECI ni dans les puits on ne saurait trouver de l'eau pour se laver, se rafraîchir encore moins pour faire la cuisine " déplore M. Ouattara Adama, habitant de Zongo, un quartier fortement peuplé où l'eau est vraiment rare.
À Tanda, en effet, depuis un certain temps, seuls quelques quartiers ont droit à de l'eau potable mais à des heures souvent indues et cela malgré l'augmentation du nombre de forages et qui apparemment semble insuffisants, indique-t-on. L'une des raisons avancées par le deuxième adjoint au maire, M. Ouattara Amadou, est, non seulement la longue sécheresse que connaît la cité depuis le mois d'octobre mais aussi, le système d’adduction d’eau potable inadapté pour une population en pleine croissance.
Les habitants sont contraints de se lever à deux heures ou trois heures du matin pour juste un peu d'eau, soit se diriger vers le barrage situé à près de deux kilomètres de la ville et initialement prévu pour les bœufs et les moutons. Les propriétaires des motos taxi (tricycle) se frottent les mains, car avec 3000 francs CFA vous avez trois barils d'eau.
(AIP)
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