Korhogo – Le budget du centre hospitalier régional (Chr) de Korhogo est l'un des "plus faibles" malgré le fait qu'il est le plus grand de tous les Chr du pays, selon son directeur, coulibaly Drissa, qui l'a relevé, jeudi, dans une allocution prononcée à l’occasion d’une réception de don de matériel du conseil régional.
"Il est le plus grand en superficie, il est le plus grand en nombre de bâtiments, il est le plus grand en nombre de service qu’il abrite, et il est également le plus grand en nombre de personnels (350, ndlr) qui y travaillent", a fait savoir M. Coulibaly, déplorant l’insuffisance de son budget de fonctionnement.
"Bien que le Chr de Korhogo soit le plus grand de la Côte d’Ivoire, son budget de fonctionnement est l’un des plus faibles et son équipement n’est pas à la hauteur de sa grandeur", a-t-il regretté.
Selon lui, les difficultés du centre de santé ont commencé avec la crise sociopolitique de 2002 et continuent de s’accentuer malgré la réhabilitation des bâtiments et l’équipement des services à travers le Programme présidentiel d’urgence (PPU).
"Malgré ces gros efforts qui ont été faits, les stigmates de l’absence de l’administration pendant la longue période de crise sont toujours visibles", a souligné M. Coulibaly, sollicitant le conseil régional de continuer ses efforts en faveur de l’établissement.
(AIP)
Kaem/akn/ask
"Il est le plus grand en superficie, il est le plus grand en nombre de bâtiments, il est le plus grand en nombre de service qu’il abrite, et il est également le plus grand en nombre de personnels (350, ndlr) qui y travaillent", a fait savoir M. Coulibaly, déplorant l’insuffisance de son budget de fonctionnement.
"Bien que le Chr de Korhogo soit le plus grand de la Côte d’Ivoire, son budget de fonctionnement est l’un des plus faibles et son équipement n’est pas à la hauteur de sa grandeur", a-t-il regretté.
Selon lui, les difficultés du centre de santé ont commencé avec la crise sociopolitique de 2002 et continuent de s’accentuer malgré la réhabilitation des bâtiments et l’équipement des services à travers le Programme présidentiel d’urgence (PPU).
"Malgré ces gros efforts qui ont été faits, les stigmates de l’absence de l’administration pendant la longue période de crise sont toujours visibles", a souligné M. Coulibaly, sollicitant le conseil régional de continuer ses efforts en faveur de l’établissement.
(AIP)
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