Korhogo – Les ressortissants de Sinématiali vont se retrouver ce samedi au chef-lieu du département pour fêter la réconciliation entre leurs deux leaders, Laurent Dona Fologo et Coulibaly Tiémoko Yadé, a appris l’AIP auprès d’un membre du comité d’organisation de la cérémonie.
« Ils se sont rencontrés plusieurs fois. Ils sont déjà réconciliés. Demain c’est pour faire la fête… », a déclaré avec émotion le responsable de la commission presse et animation, Coulibaly Omar, joint par téléphone par l’AIP, vendredi.
Selon M. Coulibaly, un « arbre de la réconciliation » sera planté près du lieu de la cérémonie pour symboliser l’union retrouvée. "Désormais, il n’y a plus de camp Fologo, plus de camp Tiémoko Yadé", a poursuivi M. Coulibaly, convaincu que cette nouvelle ère augure de très bonnes choses pour le développement du département.
La brouille entre MM. Fologo et Tiémoko Yadé - pour querelles politiques, mais aussi traditionnelles - a entraîné la division de la population de Sinématiali en deux camps, a-t-on appris. Lors de sa visite d’Etat en juillet 2013, les deux "frères ennemis" avaient été interpellés par le président Alassane Ouattara sur leur mésentente qui desservait les intérêts du département.
(AIP)
« Ils se sont rencontrés plusieurs fois. Ils sont déjà réconciliés. Demain c’est pour faire la fête… », a déclaré avec émotion le responsable de la commission presse et animation, Coulibaly Omar, joint par téléphone par l’AIP, vendredi.
Selon M. Coulibaly, un « arbre de la réconciliation » sera planté près du lieu de la cérémonie pour symboliser l’union retrouvée. "Désormais, il n’y a plus de camp Fologo, plus de camp Tiémoko Yadé", a poursuivi M. Coulibaly, convaincu que cette nouvelle ère augure de très bonnes choses pour le développement du département.
La brouille entre MM. Fologo et Tiémoko Yadé - pour querelles politiques, mais aussi traditionnelles - a entraîné la division de la population de Sinématiali en deux camps, a-t-on appris. Lors de sa visite d’Etat en juillet 2013, les deux "frères ennemis" avaient été interpellés par le président Alassane Ouattara sur leur mésentente qui desservait les intérêts du département.
(AIP)