Robert Beugré Mambé aura longtemps attendu ce moment. Aujourd’hui, les choses se sont formalisées. Désormais, la ville de Paris et le district d’Abidjan sont officiellement unis. Pour le meilleur et le pire, comme un couple. Et ce, depuis le vendredi 8 avril, date à laquelle Robert Beugré Mambé et Anne Hidalgo ont signé le précieux document intitulé « pacte d’amitié et de coopération » entre les deux capitales.
Champagne et caviar ont arrosé cet instant solennel, dans le vaste bureau de la maire de Paris, dans le 4e Arrondissement. Mais peu avant la signature, elle a exprimé, face à Mambé, son amour pour la Côte d’Ivoire et surtout son admiration pour le président Ouattara qui, selon elle, est un président qui a une pleine et parfaite maitrise des choses de l’Etat. Elle s’est dite émerveillée par les travaux d’Hercule qui ont cours en ce moment même à Abidjan et toute la Côte d’Ivoire, dont le seul objectif est de faire de ce pays, un pays émergent qui aspire à améliorer de façon considérable les conditions de vie et de travail de ses concitoyens.
Elle a aussi informé Mambé de sa prochaine visite à Abidjan pour davantage réchauffer les liens entre les deux collectivités d’une part et féliciter le président Ouattara pour ses réalisations d’autre part.
Le gouverneur du district d’Abidjan a exprimé sa reconnaissance à Hidalgo qui, selon ses propres termes, n’a pas attendu un seul instant pour apporter son soutien aux Ivoiriens, lors de l’attentat terroriste de Bassam qui n’est que la cité balnéaire d’Abidjan. Mieux, a-t-il ajouté, elle a dépêché ses plus proches collaborateurs sur place à Abidjan pour voir comment Paris pourrait apporter un soutien aux infrastructures sanitaires de notre capitale.
Il a surtout plaidé pour que le pacte signé soit suivi d’effets concrets dans tous les domaines, à savoir la recherche scientifique, l’éducation, la santé, les sports et loisirs, les infrastructures, l’environnement, la sécurité et la protection civile, la lutte contre la pauvreté des jeunes et des femmes, etc.
Notons que Robert Beugré Mambé était accompagné dans cette mission, du vice-gouverneur N’Cho Kouaoh Vincent, son conseiller Dr Djè, ses directeurs en charge des Affaires juridiques et de la Communication, Me Lamine Koïta et Baba Coulibaly.
Champagne et caviar ont arrosé cet instant solennel, dans le vaste bureau de la maire de Paris, dans le 4e Arrondissement. Mais peu avant la signature, elle a exprimé, face à Mambé, son amour pour la Côte d’Ivoire et surtout son admiration pour le président Ouattara qui, selon elle, est un président qui a une pleine et parfaite maitrise des choses de l’Etat. Elle s’est dite émerveillée par les travaux d’Hercule qui ont cours en ce moment même à Abidjan et toute la Côte d’Ivoire, dont le seul objectif est de faire de ce pays, un pays émergent qui aspire à améliorer de façon considérable les conditions de vie et de travail de ses concitoyens.
Elle a aussi informé Mambé de sa prochaine visite à Abidjan pour davantage réchauffer les liens entre les deux collectivités d’une part et féliciter le président Ouattara pour ses réalisations d’autre part.
Le gouverneur du district d’Abidjan a exprimé sa reconnaissance à Hidalgo qui, selon ses propres termes, n’a pas attendu un seul instant pour apporter son soutien aux Ivoiriens, lors de l’attentat terroriste de Bassam qui n’est que la cité balnéaire d’Abidjan. Mieux, a-t-il ajouté, elle a dépêché ses plus proches collaborateurs sur place à Abidjan pour voir comment Paris pourrait apporter un soutien aux infrastructures sanitaires de notre capitale.
Il a surtout plaidé pour que le pacte signé soit suivi d’effets concrets dans tous les domaines, à savoir la recherche scientifique, l’éducation, la santé, les sports et loisirs, les infrastructures, l’environnement, la sécurité et la protection civile, la lutte contre la pauvreté des jeunes et des femmes, etc.
Notons que Robert Beugré Mambé était accompagné dans cette mission, du vice-gouverneur N’Cho Kouaoh Vincent, son conseiller Dr Djè, ses directeurs en charge des Affaires juridiques et de la Communication, Me Lamine Koïta et Baba Coulibaly.
