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Société Publié le lundi 2 mai 2016 | Treichville Notre Cité

Parole à la population de mai 2016

Environnement : Que sont devenus les espaces vers de la Commune ?
Y a-t-il encore des espaces verts dans la Commune ? Que deviennent ? Telle a été la préoccupation, quia poussé votre Mensuel à se tourner vers les populations

Doumbia Amadou: « Que les futurs espaces verts soient entourés d’habitation »
Les anciens espaces verts sont devenus des centres commerciaux, d’autres ont complètement disparu (avenue 8 rue 38, le rond- point et vers SDV). Il ya des jardins, qui sont en train d’être réhabilités (vers la piscine d’état, le lycée moderne), mais le hic, c’est qu’ils sont éloignés. Il n’est donc pas évident de s’y rendre à partir d’une certaine heure. Je propose que les futurs espaces verts soient entourés des lieux habités de la commune, comme celui du rond-point.

Mohamed Camara : « le manque d’entretien a fait disparaître les jardins publics »
Le bilan sur les espaces verts et jardins publics est négatif, car tous nos jardins sont dégradés. Pis, ils sont devenus des fumoirs pour la plupart. Par manque d’entretien et livrés à eux-mêmes, la quasi-totalité des jardins publics ont disparu. Je souhaite que les autorités municipales se penchent sur la réhabilitation et les entretiens des espaces verts, afin que Treichville retrouve son image du passé.

Seydou Sidibé : « Pour que nos enfants y jouent et ne s’exposent sur les routes »
Les espaces verts permettent à la population de se relaxer, s’oxygéner ou de se reposer. De nos jours, cela n’est plus possible, car les espaces verts sont délabrés et mal entretenus, il y a même eu des constructions sur certains jardins publics d’où leur disparition : derrière le cinéma entente, vers le cinéma Rio, vers la lagune où se trouve présentement un immeuble. Je demande à la mairie de créer des espaces verts et d’autres aires de jeu pour que nos enfants puissent aller y jouer et éviter de s’exposer sur les routes.

Kouao Aka Lambert : « On ne respecte pas l’autorité et les espaces verts »
Le sujet sur les espaces verts et jardins publics est devenu un problème récurrent partout. Cela est dû à l’indiscipline de la population à vouloir entreprendre. On construit n’importe comment, on ne respecte pas l’autorité, qui fait son possible pour surveiller ces espaces. C’est nous, qui vivons là, c’est notre environnement. Nous devrions être les gardiens de ces espaces et ne pas attendre tout des autorités municipales. J’interpelle les autorités pour la création des espaces de jeux pour les jeunes, parce qu’ils se mettent en danger sur les routes.

ABA Anne Marie : « Dans le passé la commune avait de très beaux jardins »
Il n’existe plus de jardins publics à Treichville. Dans le passé la commune avait de très beaux jardins et espaces de jeux pour les enfants. De nos jours, des espaces verts ont donné place à des constructions (avenue 15 rue 7, vers la pharmacie plazza). Nos enfants ne sont plus en sécurité, lorsqu’ils jouent, car ils le font sur les routes. Je lance donc un appel à la Mairie pour la construction d’espaces de jeux pour nos enfants, qui méritent toute leur attention.

AMICHIA HORTENSE : « Avant on savait où se reposer contre la chaleur »
Avant, on savait ou aller se reposer quand il faisait très chaud. Il y avait plusieurs espaces verts dans la commune. Aujourd’hui la majorité de ces espaces ont donné place à des constructions : place Aboussouan, par exemple. Vu le manque d’espace à Treichville, il est très difficile de créer des jardins publics comme dans le passé. Mais, il est souhaitable, que les autorités pensent un temps soit peu à nos enfants en créant des espaces de jeux. Nos enfants par manque d’espace jouent sur les routes.

ANAMAN EVRARD : « Puisse Monsieur le Maire redore l’image de la commune»
Concernant les espaces verts dans la commune, on voit que les autorités font leur possible pour satisfaire la population. Mais il y a des travaux en suspend, dont le Rond-point de la rue 12. Je demande à Monsieur le Maire de redorer l’image de la commune en se référant au miroir du passé de Treichville. Commune stratégique de par sa position, elle se doit d’avoir une attention particulière et cela passe par le bien être de sa population.

KOUAME KOFFI CHARLES : « Navré, mais il n’y a plus d’espaces verts»
Navré de le dire mais Treichville ne possède plus d’espace vert comme dans le passé. Et cela a une répercussion sur la population, et plus particulièrement les enfants. On s’ennuie en temps de chaleur, parce qu’il n’y a pas d’endroits adéquats pour se reposer. Les enfants sont obligés de jouer sur les routes par manque d’espaces de jeux. Je souhaite que les autorités municipales créent ou réhabilitent des espaces verts, car cela nous manque.

GNANGBE NICOLAS : « Que Monsieur le Maire tape du poing sur la table pour… »
Il n y a plus d’espaces verts dans la commune comme dans le passé. Ceux, qui restent, sont devenus des lieux de délinquance. On ne sait pas où se recréer surtout, quand il fait chaud, comme c’est le cas aujourd’hui. Il faut que le Maire tape du poing sur la table pour que les choses redeviennent comme dans le passé. La mairie ne pouvant pas tout faire, il faut qu’il y ait une sensibilisation au niveau de la population pour que de part et d’autre les espaces verts soient entretenus.

GNAGUE OTTO T. ERIC PANY : « L’entretien de ces espaces est l’affaire de tous.»

Treichville regorgeait de plusieurs espaces verts, dont ceux de la cité douane Arras 1, le rond point de solibra, la rue 12 et l’habitat. Aujourd’hui, on constate avec un grand désarroi, que tous ces espaces verts ont disparu au profit des lieux de ventes, constructions, fumoirs et parkings. Mon souhait est de voir ces espaces verts réhabilités pour le grand bonheur de la population, qui en a vraiment besoin. L’entretien de ces espaces n’incombe pas qu’aux agents de la Mairie. C’est l’affaire de tous.

GALLO ARMEL STEPHANE : « Mettre en place une politique de surveillance et d’entretien »
Les espaces verts n’existent que de nom aujourd’hui, car ils sont devenus des pâturages à l’espace Biafra et des lieux de ventes en face de la cité douane. Les autorités municipales doivent mettre une véritable politique de surveillance et d’entretien de ces espaces une fois réhabilités. Il ne suffit pas de déguerpir les espaces, qui se retrouvent par la suite réoccupés par les vendeurs et autres, mais de trouver la solution idoine qui profiterait à tous.

SERY STEPHANE : « Une conséquence néfaste sur le bien être »
Le manque d’espaces verts et espaces de jeux dans la commune a une conséquence néfaste sur le bien être et l’épanouissement des jeunes, que nous sommes. Il y a, certains espaces de jeux (espace de l’habitat), qui nous sont refusés par des riverains. Nous sommes obligés de nous disperser les week end pour jouer dans la commune. Nous avons entamé des démarches à la mairie en rencontrant le 6ème Adjoint au Maire pour remédier à ce problème, qui nous tient à cœur.


ARISTIDE KOUAO : « La population doit être sensibilisée»
Dans les années 90, on avait des espaces verts et jardins, qui profitaient à tous. Mais depuis les années 2000, ces espaces ont disparu. Ils sont transformés en centres commerciaux, en habitation…. Je lance un appel aux autorités afin de réhabiliter les quelques espaces susceptibles d’être sauvés. Et qu’elles arrêtent de brader ( vendre) ces petits bouts d’espaces, afin que cela profite largement aux populations, qui ont besoin de s’oxygéner et de se reposer en toute quiétude. La population doit être sensibilisée quant à l’entretien de ces espaces, qui profitent à tous.

COULIBALY IBRAHIMA : « les espaces verts ont considérablement diminué »
Je constate, que les espaces verts ont considérablement diminué de nos jours, car des personnes ont construit là-dessus. Qui leur cède les terrains ? La question reste posée. Franchement je souhaite que nos autorités préservent ce qui reste de ces espaces verts. Par exemple le projet de celui du rond-point de la rue 12 est une bonne initiative, car je pense, qu’i faut préserver ces acquis. La population a, beaucoup, à avoir dans la destruction et le délabrement de tous ces espaces. D’où la nécessité d’une sensibilisation.

FALL BINTA : « Nos espaces verts…, des fumoirs, des urinoirs »
Nos espaces verts et jardins publics sont devenus des fumoirs, des urinoirs, ou règne la délinquance. Ils sont très mal entretenus, délabrés, livrés à leur triste sort. Que nos autorités municipales mettent en valeurs ces espaces en les réhabilitant. Qu’elles mettent l’accent sur la surveillance et l’entretien afin que la population le comprenne. Notons que les espaces verts embellissent la commune.

KARIM AKIN AMANI (rach) : « L’augmentation de la population »
On constate de nos jours que les espaces verts et jardins publics disparaissent de la commune. Cela est dû à plusieurs raisons : l’explosion démographique par exemple. La population ayant considérablement augmenté, on se retrouve, aujourd’hui, confronté à un problème d’habitations. Des espaces verts ont été transformés en habitation. Je souhaite, néanmoins, que nos autorités préservent les espaces restant en les réhabilitant et en insistant sur l’entretien et la sécurité.

DIABATE ISSOUF MOHAMED : « L’image de Treichville est terne »
Les jardins publics de la commune sont très mal entretenus, délabrés, laissés à l’abandon. Transformés pour la plupart en dépotoirs, fumoirs, urinoirs, garages et j’en passe, ces espaces, qui jadis embellissaient la commune, ternissent, aujourd’hui, l’image de Treichville. La population, qui est censée aider la Mairie dans sa tâche d’entretien et de surveillance de ces espaces, ne le fait pas. Elle participe au contraire à la dégradation de ces lieux en y jetant des ordures de toutes sortes.

DJETOUAN EKOU JEROME : « La faute aux autorités municipales»
Nos espaces verts et jardins publics, qui autrefois, permettaient à la population de se reposer, profiter de l’air pur, de discuter dans une discrétion absolue, n’existent plus que de nom aujourd’hui. C’est la faute à la fois des autorités municipales et des populations, qui doivent concomitamment entretenir ces espaces. Ce qui n’est pas le cas. Nous devons, donc, nous remettre en cause et agir convenablement pour pérenniser ces espaces verts, qui nous sont indispensables.

GUSTAVE KOUASSI
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