Monsieur le Secrétaire Général,
Mesdames et Messieurs les Ministres en charge de la Sécurité,
Monsieur le Secrétaire Général Adjoint aux opérations de maintien de la paix,
Monsieur le Directeur Exécutif de l’Office contre la Drogue et le Crime,
Monsieur le Secrétaire Général d’Interpol,
Monsieur le Commissaire pour la Paix et la Sécurité de l’Union Africaine,
Mesdames et Messieurs les responsables des services de police,
Mesdames et Messieurs,
Avant tout propos, je voudrais me réjouir de l’organisation de ce premier Sommet des Chefs de Police qui nous offre l’occasion d’échanger sur des sujets d’intérêt pour nos pays respectifs et l’organisation des Nations Unies.
Je saisis l’occasion pour adresser mes sincères remerciements au Secrétaire Général pour cette belle initiative, et réitérer la gratitude du Gouvernement et du peuple ivoiriens aux Nations Unies pour leur soutien constant et leur contribution inestimable à la sortie de crise et à la consolidation de la paix, après les graves évènements de 2010 et 2011.
La Côte d’Ivoire aujourd’hui, grâce à la paix retrouvée, est en pleine reconstruction et en pleine croissance.
Monsieur le Président,
La question à l’examen de ce panel “tendances actuelles et futures pour les Forces de Police UN” est un sujet d’intérêt tout particulier pour nos pays et surtout les pays contributeurs de contingents de Police dans les Opérations de maintien de la paix, comme le notre.
Par sa mission de protection de proximité des populations dans les Opérations de maintien de la paix, la Police des Nations Unies constitue une composante essentielle.
Face à la complexité des situations de terrain et au contexte parfois changeant des Opérations de maintien de la paix, la Police des Nations Unies doit être mieux préparée pour affronter les défis de sa mission.
A cet égard, il nous paraît essentiel que la Police des Nations Unies s’approprie le contexte local pour mieux appréhender l’ensemble des problématiques afin d’optimiser les performances.
De notre point de vue, la première condition de succès d’une opération de maintien de la paix réside dans la confiance avec tous les acteurs sociaux, gouvernement, partis politiques, mais surtout essentiellement avec la population, en la considérant comme une force amie.
La deuxième condition du succès d’une opération de maintien de la paix est la clarté et la précision du mandat, en adéquation avec les besoins réels de la situation.
La question de la responsabilité mutuelle entre le Gouvernement local et la Force de Police ne doit pas être passée sous silence.
L’amélioration des méthodes de travail devrait être aussi une préoccupation. La hiérarchie devrait être à l’écoute des contingents sur le terrain.
La sécurité des éléments sur le terrain est une donnée essentielle du succès d’une mission.
Aussi, des réflexions et des actions devraient être engagées pour assurer la sécurité des contingents surtout lorsqu’ils interviennent dans un milieu hostile.
Des policiers bien formés sont le gage d’une performance sur le terrain.
Dans cette perspective, les pays contributeurs de contingents devraient mettre un point d’honneur à la formation de leurs agents de police.
En Côte d’Ivoire, le Gouvernement attache du prix à cette question, et je dois le dire, les performances des contingents ivoiriens en Haïti et en République Démocratique du Congo, sont des motifs de satisfaction.
Une formation d’élite doit être aussi accompagnée d’un bon niveau d’équipement. Ma délégation saisit l’occasion de notre réunion pour appeler à une coopération internationale soutenue dans ce domaine.
En terminant mon propos, je voudrais rendre un hommage appuyé à l’ensemble des contingents de police qui ont servi en Côte d’Ivoire ces dernières années. Ensemble dans la confiance, nous avons écrit avec l’ONU, une belle page dans l’histoire des Opérations de maintien de la paix.
Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, le Gouvernement et le peuple ivoiriens vous exprime toute leur considération et gratitude.
Je vous remercie.
Mesdames et Messieurs les Ministres en charge de la Sécurité,
Monsieur le Secrétaire Général Adjoint aux opérations de maintien de la paix,
Monsieur le Directeur Exécutif de l’Office contre la Drogue et le Crime,
Monsieur le Secrétaire Général d’Interpol,
Monsieur le Commissaire pour la Paix et la Sécurité de l’Union Africaine,
Mesdames et Messieurs les responsables des services de police,
Mesdames et Messieurs,
Avant tout propos, je voudrais me réjouir de l’organisation de ce premier Sommet des Chefs de Police qui nous offre l’occasion d’échanger sur des sujets d’intérêt pour nos pays respectifs et l’organisation des Nations Unies.
Je saisis l’occasion pour adresser mes sincères remerciements au Secrétaire Général pour cette belle initiative, et réitérer la gratitude du Gouvernement et du peuple ivoiriens aux Nations Unies pour leur soutien constant et leur contribution inestimable à la sortie de crise et à la consolidation de la paix, après les graves évènements de 2010 et 2011.
La Côte d’Ivoire aujourd’hui, grâce à la paix retrouvée, est en pleine reconstruction et en pleine croissance.
Monsieur le Président,
La question à l’examen de ce panel “tendances actuelles et futures pour les Forces de Police UN” est un sujet d’intérêt tout particulier pour nos pays et surtout les pays contributeurs de contingents de Police dans les Opérations de maintien de la paix, comme le notre.
Par sa mission de protection de proximité des populations dans les Opérations de maintien de la paix, la Police des Nations Unies constitue une composante essentielle.
Face à la complexité des situations de terrain et au contexte parfois changeant des Opérations de maintien de la paix, la Police des Nations Unies doit être mieux préparée pour affronter les défis de sa mission.
A cet égard, il nous paraît essentiel que la Police des Nations Unies s’approprie le contexte local pour mieux appréhender l’ensemble des problématiques afin d’optimiser les performances.
De notre point de vue, la première condition de succès d’une opération de maintien de la paix réside dans la confiance avec tous les acteurs sociaux, gouvernement, partis politiques, mais surtout essentiellement avec la population, en la considérant comme une force amie.
La deuxième condition du succès d’une opération de maintien de la paix est la clarté et la précision du mandat, en adéquation avec les besoins réels de la situation.
La question de la responsabilité mutuelle entre le Gouvernement local et la Force de Police ne doit pas être passée sous silence.
L’amélioration des méthodes de travail devrait être aussi une préoccupation. La hiérarchie devrait être à l’écoute des contingents sur le terrain.
La sécurité des éléments sur le terrain est une donnée essentielle du succès d’une mission.
Aussi, des réflexions et des actions devraient être engagées pour assurer la sécurité des contingents surtout lorsqu’ils interviennent dans un milieu hostile.
Des policiers bien formés sont le gage d’une performance sur le terrain.
Dans cette perspective, les pays contributeurs de contingents devraient mettre un point d’honneur à la formation de leurs agents de police.
En Côte d’Ivoire, le Gouvernement attache du prix à cette question, et je dois le dire, les performances des contingents ivoiriens en Haïti et en République Démocratique du Congo, sont des motifs de satisfaction.
Une formation d’élite doit être aussi accompagnée d’un bon niveau d’équipement. Ma délégation saisit l’occasion de notre réunion pour appeler à une coopération internationale soutenue dans ce domaine.
En terminant mon propos, je voudrais rendre un hommage appuyé à l’ensemble des contingents de police qui ont servi en Côte d’Ivoire ces dernières années. Ensemble dans la confiance, nous avons écrit avec l’ONU, une belle page dans l’histoire des Opérations de maintien de la paix.
Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, le Gouvernement et le peuple ivoiriens vous exprime toute leur considération et gratitude.
Je vous remercie.