Korhogo – Un atelier de consultation des populations de la région du poro visant à recueillir leurs contributions à l’élaboration d’un avant-projet de déclaration de politique foncière rurale s’est tenu mardi à Korhogo.
L’ébauche de la déclaration, présentée aux participants à l’atelier, présente successivement les cadres légaux et institutionnels de la sécurisation du domaine foncier rural, met en exergue leurs faiblesses respectives et constate un faible niveau de sécurisation des terres rurales. Puis, indiquant ses objectifs et principes directeurs, elle définit ses orientations stratégiques et propose un chronogramme de sa mise en œuvre.
A la fin du processus de son élaboration, la déclaration sera adoptée par le gouvernement, a indiqué Seynou Idrissa, sous-directeur de la sécurité foncière au ministère en charge de l’Agriculture. Elle constituera alors un « précieux » outil à la disposition de tous pour la réalisation de la sécurisation du foncier rural, a-t-il ajouté.
Le texte devrait en effet permettre de surmonter les difficultés relevées dans la mise en œuvre de la loi de décembre 1998 relative au foncier rural et consolider la paix et la cohésion sociale, ainsi que la promotion de l’investissement agricole et la lutte contre la pauvreté, espèrent ses initiateurs.
kaem/akn/ask
L’ébauche de la déclaration, présentée aux participants à l’atelier, présente successivement les cadres légaux et institutionnels de la sécurisation du domaine foncier rural, met en exergue leurs faiblesses respectives et constate un faible niveau de sécurisation des terres rurales. Puis, indiquant ses objectifs et principes directeurs, elle définit ses orientations stratégiques et propose un chronogramme de sa mise en œuvre.
A la fin du processus de son élaboration, la déclaration sera adoptée par le gouvernement, a indiqué Seynou Idrissa, sous-directeur de la sécurité foncière au ministère en charge de l’Agriculture. Elle constituera alors un « précieux » outil à la disposition de tous pour la réalisation de la sécurisation du foncier rural, a-t-il ajouté.
Le texte devrait en effet permettre de surmonter les difficultés relevées dans la mise en œuvre de la loi de décembre 1998 relative au foncier rural et consolider la paix et la cohésion sociale, ainsi que la promotion de l’investissement agricole et la lutte contre la pauvreté, espèrent ses initiateurs.
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