Abidjan – Les six commissions thématiques de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI) ont été officiellement investies vendredi par la coordonnatrice nationale, Hélène Gnionsahé, qui leur a remis leur feuille de route et aussitôt mis en mission.
Lors d’une cérémonie organisée au siège de la CSCI, à Cocody, la coordonnatrice nationale de la CSCI a demandé aux membres de ces commissions de faire leur travail d’analyse sur le terrain, « sans état d’âme », sans partie pris pour les autorités ni pour les partis politiques, et surtout uniquement au profit du bien-être de la population.
Les six commissions installées sont intitulées « Etat de droit et de l’Egalité des chances (CEDEC)», « Jeunesse, Education et Emploi (CJEE)», « Affaires professionnelles et syndicales (CAPS)», « Développement durable et de Proximité (CDDP) », « Promotion humaine et la Cohésion sociale (CPHC) » et la Commission chargée des questions du Genre.
La cérémonie d’investiture s’est déroulée en présence de représentants des organismes partenaires de la CSCI, notamment le Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD) qui finance le projet. La représentante de cette association française, Isabelle Manimben, a salué la nouvelle dynamique de relance de la CSCI qui a un rôle à jouer dans le débat public en Côte d’Ivoire.
Portée sur les fonts baptismaux en septembre 2005 à l’initiative d’acteurs d’organisations de la société civile, la CSCI est l’une des plus grandes faîtières d’ONG, de syndicats et d’associations de la société civile de Côte d’Ivoire, regroupant 133 membres. Elle a pour objet d’influencer les processus politique, économique et social et de contribuer efficacement à l’amélioration du bien-être des populations.
(AIP)
cmas
Lors d’une cérémonie organisée au siège de la CSCI, à Cocody, la coordonnatrice nationale de la CSCI a demandé aux membres de ces commissions de faire leur travail d’analyse sur le terrain, « sans état d’âme », sans partie pris pour les autorités ni pour les partis politiques, et surtout uniquement au profit du bien-être de la population.
Les six commissions installées sont intitulées « Etat de droit et de l’Egalité des chances (CEDEC)», « Jeunesse, Education et Emploi (CJEE)», « Affaires professionnelles et syndicales (CAPS)», « Développement durable et de Proximité (CDDP) », « Promotion humaine et la Cohésion sociale (CPHC) » et la Commission chargée des questions du Genre.
La cérémonie d’investiture s’est déroulée en présence de représentants des organismes partenaires de la CSCI, notamment le Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD) qui finance le projet. La représentante de cette association française, Isabelle Manimben, a salué la nouvelle dynamique de relance de la CSCI qui a un rôle à jouer dans le débat public en Côte d’Ivoire.
Portée sur les fonts baptismaux en septembre 2005 à l’initiative d’acteurs d’organisations de la société civile, la CSCI est l’une des plus grandes faîtières d’ONG, de syndicats et d’associations de la société civile de Côte d’Ivoire, regroupant 133 membres. Elle a pour objet d’influencer les processus politique, économique et social et de contribuer efficacement à l’amélioration du bien-être des populations.
(AIP)
cmas
