Bouaké - Les professionnels intervenant dans la mise en œuvres du service de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse, notamment des magistrats pour mineurs, des greffiers, des agents de la police, de la gendarmerie, des éducateurs et des assistants sociaux ont pris part, de jeudi à vendredi à Bouaké, à un séminaire de renforcement des capacités pour une meilleure prise en charge des mineurs au contact de la loi dans les juridictions.
Initié par la Direction de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse (DPJEJ), cet atelier a été marqué par diverses communications portant notamment sur le Service de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse (SPJEJ) dans l’organisation et le fonctionnement de l’appareil judiciaire, le profil et parcours des mineurs en contact avec le système judiciaire, la contribution du SPJEJ dans la prévention de la délinquance des jeunes et l’action éducative de l’agent de la prévention judiciaire.
Les échanges et les travaux de groupe consécutifs aux communications ont fait ressortir que le mineur est insuffisamment pris en charge dans quatre situations, à savoir lorsqu’il est en danger, victime, témoin et infracteur.
Se réjouissant de la tenue de cet atelier, le substitut général du procureur général, Diakité Mamadou, a souligné que la mise en place du Service de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse pourrait contribuer à corriger ces insuffisances et à éviter certains désagréments liés au procès des mineurs.
Créés par arrêté N°642 du 29 décembre 2015, les services de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse sont expérimentés dans quatre juridictions pilotes, à savoir les tribunal de première instance d’Abidjan-Plateau, de Yopougon, de Man et de Bouaké (installé en janvier 2016).
nbf/akn/cmas
Initié par la Direction de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse (DPJEJ), cet atelier a été marqué par diverses communications portant notamment sur le Service de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse (SPJEJ) dans l’organisation et le fonctionnement de l’appareil judiciaire, le profil et parcours des mineurs en contact avec le système judiciaire, la contribution du SPJEJ dans la prévention de la délinquance des jeunes et l’action éducative de l’agent de la prévention judiciaire.
Les échanges et les travaux de groupe consécutifs aux communications ont fait ressortir que le mineur est insuffisamment pris en charge dans quatre situations, à savoir lorsqu’il est en danger, victime, témoin et infracteur.
Se réjouissant de la tenue de cet atelier, le substitut général du procureur général, Diakité Mamadou, a souligné que la mise en place du Service de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse pourrait contribuer à corriger ces insuffisances et à éviter certains désagréments liés au procès des mineurs.
Créés par arrêté N°642 du 29 décembre 2015, les services de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse sont expérimentés dans quatre juridictions pilotes, à savoir les tribunal de première instance d’Abidjan-Plateau, de Yopougon, de Man et de Bouaké (installé en janvier 2016).
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