Dimbokro - Le ministre de l’Economie numérique et de la Poste, porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné Koné, invite les Ivoiriens à apporter massivement leur caution au référendum constitutionnel décidé par le Président de la République Alassane Ouattara, pour doter le pays d'une nouvelle Constitution exempte de termes confligènes.
« Je voudrais vous inviter, le jour venu (octobre 2016, ndlr), à sortir massivement et à apporter votre caution à cette nouvelle Constitution dont le Président veut doter la Côte d’Ivoire », a appelé Bruno Koné, lors d’une cérémonie de remise de matériels roulants aux structures de bases du Rassemblement des républicains (RDR), vendredi à Dimbokro.
Pour lui, le Président Alassane Ouattara et son "aîné" Henri Konan Bédié, en voulant doter la Côte d’Ivoire d'une nouvelle loi fondamentale, veulent exorciser le pays, après 10 années de déchirure causée par la Constitution confligène de 2000, et léguer aux générations futures une nation en paix durablement, qui continue d’être prospère et rassurante pour tous ceux qui viennent dans le pays pour le visiter ou y travailler.
« Il (Alassane Ouattara) aurait pu dire, j’ai hérité de cette Constitution de 2010, je ne vais pas m’embêter. Je vais partir et puis les Ivoiriens vont se débrouiller. Mais un homme d’Etat ne raisonne pas comme cela. Un homme d’Etat regarde ce qu’il fait. Il regarde devant. Il s’oublie et il travaille dans le seul intérêt de son pays », a conclu M. Koné.
ik/cmas
« Je voudrais vous inviter, le jour venu (octobre 2016, ndlr), à sortir massivement et à apporter votre caution à cette nouvelle Constitution dont le Président veut doter la Côte d’Ivoire », a appelé Bruno Koné, lors d’une cérémonie de remise de matériels roulants aux structures de bases du Rassemblement des républicains (RDR), vendredi à Dimbokro.
Pour lui, le Président Alassane Ouattara et son "aîné" Henri Konan Bédié, en voulant doter la Côte d’Ivoire d'une nouvelle loi fondamentale, veulent exorciser le pays, après 10 années de déchirure causée par la Constitution confligène de 2000, et léguer aux générations futures une nation en paix durablement, qui continue d’être prospère et rassurante pour tous ceux qui viennent dans le pays pour le visiter ou y travailler.
« Il (Alassane Ouattara) aurait pu dire, j’ai hérité de cette Constitution de 2010, je ne vais pas m’embêter. Je vais partir et puis les Ivoiriens vont se débrouiller. Mais un homme d’Etat ne raisonne pas comme cela. Un homme d’Etat regarde ce qu’il fait. Il regarde devant. Il s’oublie et il travaille dans le seul intérêt de son pays », a conclu M. Koné.
ik/cmas