L’Asec Mimosas tient son assemblée générale mixte élective ce dimanche, à partir de 9 heures, au complexe sportif de Sol béni. Cette AG se tient sur fond de mécontentement général des Actionnaires qui n’arrivent plus à savourer de titre de champion de Côte d’Ivoire. En effet, le dernier titre de champion de l’Asec Mimosas remonte à 2010. Donc, depuis six ans, les Jaunes et Noirs sont privés de la plus prestigieuse distinction du football ivoirien. Cette année, elle risque de terminer le championnat national au milieu du tableau. Elle pourrait être absente de toutes les compétitions africaines. Cette situation agace les Actionnaires au point où l’équipe la plus populaire de Côte d’Ivoire joue devant des gradins vides, même en coupe d’Afrique.
L’Asec est malade. Les supporters sont déboussolés. Ils murmurent, mais n’osent pas dire haut et fort ce qu’ils pensent tout bas. L’Assemblée générale mixte élective de l’Asec Mimosas prévue ce dimanche sera-t-elle l’occasion pour eux de s’exprimer sans faux-fuyant? En outre, Me Roger Ouégnin peut-il faire un vrai diagnostic pour trouver les vrais maux qui rongent l’Asec et proposer de bons remèdes? Ce sont là de grandes questions.
Les problèmes du club cher à Me Roger Ouégnin sont nombreux. La crise économique frappe les Jaune et Noir. Elle frappe d’ailleurs tous les clubs de Côte d’Ivoire. La différence entre l’Asec et les autres, c’est que les Mimos ont des charges de fonctionnement plus lourdes que les autres. Cela peut-il justifier les contre-performances du club ? Comment l’As Tanda et le Séwé s’arrangent-ils pour remporter le titre de champion de Côte d’Ivoire pendant que l’Asec joue les seconds rôles dans le football ivoirien alors que tous sont logés à la même enseigne au plan économique ?
Chaque année, aux mêmes questions, les mêmes réponses. L’Asec Mimosas a un effectif pauvre, et l’Académie Mimosifcom est devenue improductive. Minée par la corruption, l’incompétence des enseignants et la discrimination, l’Académie Mimosifcom est désormais l’ombre d’elle-même. Les jeunes non méritants sont retenus au détriment des plus méritants à l’issue des tests. On parle même du détournement de petits joueurs talentueux au profit d’un centre parallèle. Me Roger Ouégnin n’aime pas entendre que depuis le départ de Jean-Marc Guillou, l’école de football de l’Asec ne forme plus de grands joueurs. Pourtant, c’est une réalité. Des changements s’imposent donc à Mimosifcom. C’est l’une des solutions pour que l’Asec redécolle.
Ephrem Touboui
L’Asec est malade. Les supporters sont déboussolés. Ils murmurent, mais n’osent pas dire haut et fort ce qu’ils pensent tout bas. L’Assemblée générale mixte élective de l’Asec Mimosas prévue ce dimanche sera-t-elle l’occasion pour eux de s’exprimer sans faux-fuyant? En outre, Me Roger Ouégnin peut-il faire un vrai diagnostic pour trouver les vrais maux qui rongent l’Asec et proposer de bons remèdes? Ce sont là de grandes questions.
Les problèmes du club cher à Me Roger Ouégnin sont nombreux. La crise économique frappe les Jaune et Noir. Elle frappe d’ailleurs tous les clubs de Côte d’Ivoire. La différence entre l’Asec et les autres, c’est que les Mimos ont des charges de fonctionnement plus lourdes que les autres. Cela peut-il justifier les contre-performances du club ? Comment l’As Tanda et le Séwé s’arrangent-ils pour remporter le titre de champion de Côte d’Ivoire pendant que l’Asec joue les seconds rôles dans le football ivoirien alors que tous sont logés à la même enseigne au plan économique ?
Chaque année, aux mêmes questions, les mêmes réponses. L’Asec Mimosas a un effectif pauvre, et l’Académie Mimosifcom est devenue improductive. Minée par la corruption, l’incompétence des enseignants et la discrimination, l’Académie Mimosifcom est désormais l’ombre d’elle-même. Les jeunes non méritants sont retenus au détriment des plus méritants à l’issue des tests. On parle même du détournement de petits joueurs talentueux au profit d’un centre parallèle. Me Roger Ouégnin n’aime pas entendre que depuis le départ de Jean-Marc Guillou, l’école de football de l’Asec ne forme plus de grands joueurs. Pourtant, c’est une réalité. Des changements s’imposent donc à Mimosifcom. C’est l’une des solutions pour que l’Asec redécolle.
Ephrem Touboui
