Man, Quarante et un cadres de la santé et des services de sécurité, paires formateurs de la région du Tonkpi, ont suivi du 4 au 8 septembre à Man, un atelier de renforcement de capacités sur l’infection à virus Ebola et les maladies potentiellement épidémiques dans le cadre du renforcement de la gouvernance sanitaire dans les zones transfrontalières des pays de l’Union du fleuve Mano.
L’activité au cours de laquelle les modules de formation communautaire en matière de surveillance communautaire et frontalière d’alerte précoce ont été révisés s’inscrit dans le cadre d’un projet régional dénommé «Soutenir et renforcer la surveillance médicale sous régionale post-Ebola et les initiatives de relèvement socioéconomique en Afrique de l’Ouest».
Le projet est financé par le Japon à hauteur de 4,5 millions de dollars US pour une période d’un an (mars 2016-mars 2017). C’est une contribution du gouvernement japonaix et du PNUD à la réponse aux besoins urgents en matière de gouvernance de la santé, économique et sociale et de sonsolidation de la paix dans les zones frontalières et transfrontalières des pays de l’Union du fleuve Mano (Côte d’Ivoire, Guinée, Libéria et Sierra Léone), indique-t-on
L’on escompte que le projet renforce la cohérence des actions et la coordination entre les quatre bureaux pays du PNUD sur les initiatives de relèvement et de résilience frontalières et transfrontalières pour aider les communautés de ces zones à mieux répondre aux catastrophes et épidémies.
Le Projet vise donc à renforcer les capapcités opérationnelles des insitutions régionales, les interventions, mécanismes et politiques régionaux d’alerte précoce, la gouvernance locales dans les zones transfrontalières. Il vise également à renforcer les capacités des autorités, des communautés et des organisations de la société civile locale pour la création d’opportunités économiques et la promotion du développement local et à renforcer la cohésion sociale, le dialogue et la consolidation de la paix dans les zones transfrontalières.
Apparue en février 2014 dans la zone forestière de la Guinée-Conakry, la maladie à virus Ebola s’est étendue rapidement au Liberia et en Sierra Leone. Le virus a infecté des dizaines de milliers de personnes et occasionné de nombreux décès. L’épidémie a été déclarée terminée en Afrique de l’Ouest par l’OMS. De nouveaux cas avec des décès du à la maladie ont été enregistrés en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone peu de temps après, montrant que la maladie garde encore son potentiel de contamination interhumaine et d’un animal à l’homme, indique-t-on.
(AIP)
gem/tm
L’activité au cours de laquelle les modules de formation communautaire en matière de surveillance communautaire et frontalière d’alerte précoce ont été révisés s’inscrit dans le cadre d’un projet régional dénommé «Soutenir et renforcer la surveillance médicale sous régionale post-Ebola et les initiatives de relèvement socioéconomique en Afrique de l’Ouest».
Le projet est financé par le Japon à hauteur de 4,5 millions de dollars US pour une période d’un an (mars 2016-mars 2017). C’est une contribution du gouvernement japonaix et du PNUD à la réponse aux besoins urgents en matière de gouvernance de la santé, économique et sociale et de sonsolidation de la paix dans les zones frontalières et transfrontalières des pays de l’Union du fleuve Mano (Côte d’Ivoire, Guinée, Libéria et Sierra Léone), indique-t-on
L’on escompte que le projet renforce la cohérence des actions et la coordination entre les quatre bureaux pays du PNUD sur les initiatives de relèvement et de résilience frontalières et transfrontalières pour aider les communautés de ces zones à mieux répondre aux catastrophes et épidémies.
Le Projet vise donc à renforcer les capapcités opérationnelles des insitutions régionales, les interventions, mécanismes et politiques régionaux d’alerte précoce, la gouvernance locales dans les zones transfrontalières. Il vise également à renforcer les capacités des autorités, des communautés et des organisations de la société civile locale pour la création d’opportunités économiques et la promotion du développement local et à renforcer la cohésion sociale, le dialogue et la consolidation de la paix dans les zones transfrontalières.
Apparue en février 2014 dans la zone forestière de la Guinée-Conakry, la maladie à virus Ebola s’est étendue rapidement au Liberia et en Sierra Leone. Le virus a infecté des dizaines de milliers de personnes et occasionné de nombreux décès. L’épidémie a été déclarée terminée en Afrique de l’Ouest par l’OMS. De nouveaux cas avec des décès du à la maladie ont été enregistrés en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone peu de temps après, montrant que la maladie garde encore son potentiel de contamination interhumaine et d’un animal à l’homme, indique-t-on.
(AIP)
gem/tm
