Niakaramadougou - Les habitants de Niakaramadougou et Tafiré manifestent leur ras-le-bol face à la recrudescence des attaques armées opérées par les coupeurs de routes sur différents axes routiers de la région.
Selon plusieurs usagers de l'axe Niakaramadougou-Ferkessédougou, notamment ceux des pistes villageoises donnant accès à la ville de Niakaramadougou, une dizaine d’attaques sont à déplorer depuis août, une ayant occasionné un mort à Tafiré, explique un responsable de BTP, Mibeny Ouattara rencontré jeudi par l’AIP.
«Deux individus armés de Kalachnikovs et opérant à visage découvert, nous ont dépouillés de notre argent, téléphones portables et bijoux à 07H15 ce jeudi sur la piste Niakara-Nangoniékaha», a déclaré cet autre habitant, Patrick Koné.
Une marche de protestation prévue vendredi à Tafiré a été suspendue, les autorités administratives et traditionnelles locales ayant appelé les populations au calme avec la promesse de trouver une solution à ce fléau. « Le Gouvernement doit agir, nous sommes effectivement en danger », s’est insurgé un ouvrier de la SUCAF-CI, Yao Omer.
(AIP)
jbm/gak/kam
Selon plusieurs usagers de l'axe Niakaramadougou-Ferkessédougou, notamment ceux des pistes villageoises donnant accès à la ville de Niakaramadougou, une dizaine d’attaques sont à déplorer depuis août, une ayant occasionné un mort à Tafiré, explique un responsable de BTP, Mibeny Ouattara rencontré jeudi par l’AIP.
«Deux individus armés de Kalachnikovs et opérant à visage découvert, nous ont dépouillés de notre argent, téléphones portables et bijoux à 07H15 ce jeudi sur la piste Niakara-Nangoniékaha», a déclaré cet autre habitant, Patrick Koné.
Une marche de protestation prévue vendredi à Tafiré a été suspendue, les autorités administratives et traditionnelles locales ayant appelé les populations au calme avec la promesse de trouver une solution à ce fléau. « Le Gouvernement doit agir, nous sommes effectivement en danger », s’est insurgé un ouvrier de la SUCAF-CI, Yao Omer.
(AIP)
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