Daloa - Deux cents jeunes saigneurs et 20 techniciens spécialisés formés par le Fonds de Développement de l’Hevéa, ont reçu, samedi, à la mairie de Zoukougbeu des attestations de participation à cette formation.
Cette formation d’un coût de 70 millions organisée par le FDH en collaboration avec l’Association des Professionnels du Caoutchouc Naturel de Côte d’Ivoire (APROMAC) s’inscrit dans le cadre de la réalisation de son programme d’activité visant le développement de l’hévéaculture.
Au cours de cette cérémonie, le directeur exécutif du FDH, M Koffi Konan Albert a expliqué que cette formation vise à combler le besoin en saigneurs dans le département de Zoukougbeu.
« S’il n’y a pas de saigneurs, il n’y a pas de récolte… cette formation va permettre aux jeunes d’avoir un métier et je souhaite que ces jeunes formés servent de modèles à d’autres jeunes », a souhaité M Konan.
Un ouvrier spécialisé, Bozé Jean Blanchard s’est réjoui de cette formation qui va lui permettre d’être auprès des planteurs et les aider à saigner, à faire le traçage et à détecter l’arbre d’hévéa malade.
« Je suis très contente, car le FDH à fait de moi une femme indépendante. Cette formation a changé ma vie car avant je ne faisais rien, j’étais à la maison et aujourd’hui cela va me permettre de me prendre en charge», s’est réjouie une saigneuse, Mlle Guéhi Blandine.
apk/ask
Cette formation d’un coût de 70 millions organisée par le FDH en collaboration avec l’Association des Professionnels du Caoutchouc Naturel de Côte d’Ivoire (APROMAC) s’inscrit dans le cadre de la réalisation de son programme d’activité visant le développement de l’hévéaculture.
Au cours de cette cérémonie, le directeur exécutif du FDH, M Koffi Konan Albert a expliqué que cette formation vise à combler le besoin en saigneurs dans le département de Zoukougbeu.
« S’il n’y a pas de saigneurs, il n’y a pas de récolte… cette formation va permettre aux jeunes d’avoir un métier et je souhaite que ces jeunes formés servent de modèles à d’autres jeunes », a souhaité M Konan.
Un ouvrier spécialisé, Bozé Jean Blanchard s’est réjoui de cette formation qui va lui permettre d’être auprès des planteurs et les aider à saigner, à faire le traçage et à détecter l’arbre d’hévéa malade.
« Je suis très contente, car le FDH à fait de moi une femme indépendante. Cette formation a changé ma vie car avant je ne faisais rien, j’étais à la maison et aujourd’hui cela va me permettre de me prendre en charge», s’est réjouie une saigneuse, Mlle Guéhi Blandine.
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