Abidjan - L’agence emploi jeune en collaboration avec le bureau international du travail (BIT) a initié mardi à Abidjan, sous la présidence du ministre de la promotion de la jeunesse, de l’emploi et du service civique, Sidi Touré, un atelier de réflexion sur le programme national d’insertion socio-économique et d’autonomisation de la femme en vue de l’élaboration d’un programme capable d’adresser au mieux la question de l’autonomisation de la femme en Côte d’Ivoire.
Selon l’agence emploi-jeune, 60 à 80% des femmes en Côte d’Ivoire constituent un maillon important de l’activité économique notamment au niveau de la production alimentaire, cependant elles sont encore confrontées à une série d’obstacles qui les empêchent de jouer pleinement leurs rôles, ce qui constitue des freins à la réalisation du potentiel de développement de l’Afrique.
Pour améliorer donc la situation des femmes ivoiriennes dans le monde du travail et promouvoir l’égalité entre les sexes, le gouvernement avec l’appui technique du BIT a retenu de formuler et mettre en œuvre un programme national socio-économique et d’autonomisation de la femme qui vise à promouvoir à travers le développement de leurs initiatives économiques, la création d’un environnement juridique et institutionnel plus propice, le renforcement de leurs compétences et l’amélioration d’accès des femmes au crédit.
sdaf/ask
Selon l’agence emploi-jeune, 60 à 80% des femmes en Côte d’Ivoire constituent un maillon important de l’activité économique notamment au niveau de la production alimentaire, cependant elles sont encore confrontées à une série d’obstacles qui les empêchent de jouer pleinement leurs rôles, ce qui constitue des freins à la réalisation du potentiel de développement de l’Afrique.
Pour améliorer donc la situation des femmes ivoiriennes dans le monde du travail et promouvoir l’égalité entre les sexes, le gouvernement avec l’appui technique du BIT a retenu de formuler et mettre en œuvre un programme national socio-économique et d’autonomisation de la femme qui vise à promouvoir à travers le développement de leurs initiatives économiques, la création d’un environnement juridique et institutionnel plus propice, le renforcement de leurs compétences et l’amélioration d’accès des femmes au crédit.
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